Le président français rencontre mercredi 14 juin le roi du Maroc pour une première prise de contact. Au menu : la crise dans le Golfe, la Libye et la coopération bilatérale.
La diplomatie française s’active à la veille du sommet du G5 Sahel, prévu début juillet à Bamako. Elle doit aussi préparer la prochaine visite d’Emmanuel Macron en Algérie. Ce lundi, et jusqu’à mardi, Jean-Yves le Drian, le ministre des Affaires étrangères est donc à Alger.
Celle qui a conquis des millions de Marocains avec ses recettes de cuisine livre un récit nostalgique et émouvant de son premier Ramadan à Jeune Afrique.
Le Maroc est le premier pays maghrébin que le président français visite depuis son élection, en mai. Il doit aussi se rendre à Alger, dans les prochaines semaines, selon les déclarations de la Présidence à l’agence Reuters.
La nouvelle crise entre l’Arabie saoudite et le Qatar a donné lieu à une série de réactions dans certains pays africains. Le vôtre a-t-il réagi, et si oui, comment ? Jeune Afrique fait le point, avec une carte interactive.
La plus grande organisation islamiste du pays participera à une marche nationale prévue ce dimanche pour contrer la « hogra » (mépris) et la répression de l’État. « Le Maroc est sur un volcan « , prévient le chef spirituel de Al Adl Wal Ihssane.
Pour le politologue Hasni Abidi, la crise entre Riyad et Doha n’est pas nouvelle, bien au contraire. Mais elle met leurs soutiens maghrébins de plus en plus dans l’embarras, notamment le Maroc.
Le militant amazigh prévient que la situation est appelée à se détériorer si aucune médiation n’est mise en place. Pour lui, à la fois l’État et les jeunes du Hirak ont fait des erreurs.
L’organisation devait se prononcer sur la demande d’adhésion du Maroc à l’occasion de son 51e sommet, qui a lieu à Monrovia. Mais plusieurs pays participants ont été étonnés de l’invitation adressée à Benyamin Netanyahou. Jeudi, le roi du Maroc a annulé sa participation, ne souhaitant pas que sa première présence à ce sommet intervienne dans « un contexte de tension ».
Fin de calvaire pour les réfugiés syriens parqués sur la frontière maroco-algérienne depuis avril. Alger a décidé de les accueillir en réponse à un appel du HCR.
Transféré à Casablanca avec d’autres têtes dures du Hirak, le leader de la fronde qui secoue El Hoceima depuis près d’une semaine est actuellement en garde à vue. Il risque plusieurs années de prison ferme. Et les autres ?
Après un long silence, le président de la région la plus agitée du Maroc a répondu aux questions de Jeune Afrique au sujet des protestations qui secouent sa ville.
Trois jours après avoir échappé à une arrestation, celui qu’on présente comme le chef de la fronde dans le Rif a finalement été interpellé ce lundi, indique l’AFP.
La colère ne s’apaise pas dans cette ville du Nord du Maroc, qui proteste depuis vendredi. Vingt deux personnes ont été arrêtées ce week-end alors que l’homme présenté comme le chef de la fronde, Nasser Zefzafi, est toujours recherché.
Les autorités marocaines ont annoncé son arrestation ce vendredi après qu’il a insulté un imam dans une mosquée. Mais ses proches affirment qu’il a réussi à s’échapper.
Alors que les analystes politiques algériens s’attendaient à la reconduction d’Abdelmalek Sellal dans ses fonctions de Premier ministre après les législatives, Abdelaziz Bouteflika a finalement nommé Abdelmadjid Tebboune le 24 mai.
Depuis 1999, Mohammed VI a initié un vaste programme de développement à El Hoceima, réputée ville « rebelle ». Mais cet effort de rattrapage n’a pas encore effacé les blessures du passé. Jeune Afrique dresse le tableau des principaux maux de cette région.
La fronde conduite par « le groupe des dix » n’a pas abouti. Réélu avec un score presque stalinien, le patron des ittihadis continuera de diriger un parti devenu l’ombre de lui-même.
Aziz Akhannouch espère une nouvelle naissance pour le Rassemblement national des indépendants (RNI), longtemps considéré comme un relais de l’administration. Ce week-end, sa nouvelle réorganisation interne sera adoptée lors d’un congrès national.
La candidate du mouvement d’Emmanuel Macron pour représenter les Français de l’étranger aux prochaines législatives a décidé de réagir à la polémique suscitée au Maroc par son investiture. Elle rejette toute position hostile à l’égard du royaume chérifien et pointe du doigt son principal détracteur. Interview.
La candidate du mouvement d’Emmanuel Macron pour représenter les Français de l’étranger aux prochaines législatives passe mal au Maroc, en raison de sa position pro-polisario. L’antenne marocaine du mouvement a décidé de ne pas faire campagne pour elle.
Un congrès extraordinaire se tient ce samedi pour permettre à Nizar Baraka de soumettre sa candidature face à Hamid Chabat. Première éclaircie dans l’actualité tumultueuse de ce parti.
Le président de la région actuellement la plus agitée du Maroc évoque tour à tour le chômage des jeunes, le cannabis et la contrebande. Sans langue de bois.
Après une semaine de débats, le Parlement marocain doit voter ce mercredi le programme du gouvernement de Saadeddine El Othmani. Tirant les leçons des concessions qu’il a dû faire dans les négociations gouvernementales, le PJD s’oriente vers un soutien mitigé.
Depuis dimanche, les deux pays se rejettent la responsabilité de l’expulsion d’une cinquantaine de réfugiés syriens. Après les protestations de Rabat, ce lundi Alger a convoqué l’ambassadeur marocain.
En 2012, les députées algériennes étaient les championnes du Maghreb en nombre de sièges obtenus au Parlement. Cinq ans plus tard, alors que les élections législatives approchent, leur influence au sein de l’institution est contrecarée par le conservatisme grandissant de la société.
Les autorités russes ont annoncé la simplification des mesures de visa pour les touristes et les hommes d’affaires de 18 pays voulant se rendre dans cette partie peu peuplée du pays. Décryptage.
Le chef du gouvernement marocain réunit ce mercredi les 38 membres de son équipe pour finaliser sa déclaration de politique générale. Il est attendu l’après-midi même au Parlement pour le vote d’investiture.