Moins agressifs que les Chinois, moins voyants que les Français, moins pragmatiques que les Américains, les entrepreneurs marocains avancent leurs pions au sud du Sahara.
L’agence onusienne exprime officiellement sa « préoccupation face aux capacités nucléaires de l’État hébreu », dont elle dénonce, qui plus est, le caractère clandestin.
À l’instar de l’ex-chef du PC sud-africain, ce « Palestinien hébreu », comme il se définit, rêve de voir deux peuples que tout oppose cohabiter au sein d’un seul et même État.
Engagés dans une refonte de leur schéma énergétique, Alger, Tripoli, Tunis et Rabat s’intéressent de près au développement d’une industrie électronucléaire. Avec l’aval et le soutien actif des grandes puissances, notamment la France.