Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, la série mondialement connue du photographe français, réalisée pendant la guerre d’Algérie.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, ce père désespéré qui regarde le pied et la main de sa fille de cinq ans, tranchés par des gardes de l’Anglo-Belgian India Rubber Company.
De plus en plus de journalistes s’emparent du roman graphique pour développer de longs reportages dessinés. Une façon d’alerter sur des discriminations ou d’expliquer des sujets d’actualité.
Avec une série de portraits, Jeune Afrique braque ses projecteurs sur quatre sublimes chanteuses lyriques qui portent haut les couleurs de l’Afrique dans un domaine où on ne les attend pas forcément.
Avec sa nouvelle exposition, « Echoes of the Brother Countries », la HKW explore une zone d’ombre de l’ancienne RDA : la mémoire et l’histoire des populations immigrées venues des « pays frères ».
Dans un album rythmé comme un morceau de jazz, le dessinateur marocain Youssef Daoudi et le poète africain-américain Adrian Matejka racontent le premier « combat du siècle » entre deux poids lourds, Jack Arthur Johnson et James J. Jeffries.
Avec « Arabofuturs, science-fiction et nouveaux imaginaires », l’Institut du monde arabe (Paris) ouvre ses portes à des artistes d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient et au regard qu’ils portent sur l’avenir. Pas forcément rassurant.
Cette manifestation culturelle de renommée mondiale doit s’ouvrir le 16 mai, mais un report semble désormais inévitable. En cause notamment, un manque de financement.
L’écrivain et metteur en scène rwandais raconte dans « Hewa Rwanda. Lettres aux absents », un texte puissant qui s’appuie sur sa propre histoire, comment on vit avec le génocide, 30 ans après.
Alors qu’un beau livre vient d’être publié sur l’œuvre du sculpteur malien, décédé en 2022, une exposition lui est consacrée à partir du 4 avril à la galerie Christophe Person (Paris).
L’artiste africaine-américaine dévoilera, le 23 juin, la sculpture qui lui a été commandée par le CIO et par la Ville de Paris à l’occasion des prochains Jeux olympiques.
Peu de temps après l’année 1994, de nombreux acteurs de la culture se sont emparés du sujet. Écrivains, essayistes, journalistes, plasticiens et dramaturges ont cherché, à travers leurs œuvres, des réponses.
Comment expliquer aux nouvelles générations rwandaises un passé qui les concerne toutes, mais de manière différente ? Tant bien que mal, le pays essaie d’expliquer sans stigmatiser.
Face à l’indicible, journalistes, écrivains, dramaturges, chanteurs, poètes, plasticiens ont tenté, à travers leurs œuvres, de comprendre comment et pourquoi l’humanité avait pu basculer dans l’horreur. Trente ans plus tard, ils continuent de s’interroger.
De plus en plus écoutés et de plus en plus présents sur la scène médiatique, ces penseurs et penseuses ne brossent personne dans le sens du poil. Et c’est tant mieux.
Deux sœurs sénégalaises, Louise et Justine Basse, se sont lancées dans la production de sauces africaines prêtes-à-consommer. La marque qu’elles ont créée, Mom Koumba, est un hommage à la cuisine de leur mère.
De plus en plus connus à l’étranger, ils s’imposent dans les foires et les biennales internationales. Et, bien souvent, réimportent leur savoir-faire dans leur pays natal.
Créé par des artistes volontiers transgressifs, l’art contemporain africain est plus souvent soutenu par de riches collectionneurs que par les États. Mais le public et le privé semblent complémentaires pour construire un marché en devenir.
Sans son séjour en Algérie, le célèbre sociologue français n’aurait pas construit l’œuvre qu’on lui connaît. La bande dessinée « Bourdieu. Une enquête algérienne » retrace l’histoire de cette relation.