Avec 40 à 50 % du coût total d’un billet d’avion reversé aux gouvernements sous forme de redevances diverses, les compagnies aériennes sont utilisées comme collecteurs de taxes, alors même qu’elles devraient être protégées pour surmonter la période de crise qu’elles traversent, s’insurge le directeur commercial d’Asky, président du comité aéro-politique de l’AFRAA.