ICBC ou China Exim Bank d’un côté, Banque populaire ou Attijariwafa Bank de l’autre… Les établissements multiplient les initiatives pour financer les investissements et accompagner les entreprises.
Si les premiers contacts de Huawei avec ses clients marocains datent de 1999, ce n’est qu’en 2006 que le géant chinois de la téléphonie s’est implanté à Rabat.
Lors du Sommet sino-africain de Marrakech, fin novembre, bon nombre de patrons chinois sont venus évaluer ce qu’ils gagneraient à s’implanter au Maroc.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a débloqué le 18 décembre un prêt de 100 millions d’euros en faveur de la Banque centrale populaire (BCP), dans la continuité de financements similaires réalisés en 2013 et 2014. Ces ressources sont destinées au soutien des PME du Maroc.
Leyla Bouzid et Lotfi Abdelli ont été tous les deux primés lors de la 12e session du Dubai International Film Festival (FIFD) qui s’est déroulé du 9 au 16 décembre 2015.
Du 15 au 23 Décembre, « In Between Wars », installation interactive de Médecin sans frontières France, est ouverte au public à partir de 14h à la maison des Métallos à Paris (11e). L’exposition, un labyrinthe de 60 m2, laisse voir et entendre le quotidien du pays à travers des photos et des témoignages sonores de Palestiniens de Gaza et de Cisjordanie.
Dans les salles fin janvier 2016, « Salafistes », le documentaire qui a largement inspiré « Timbuktu », montre la réalité du salafisme, du Mali à la Tunisie en passant par la Mauritanie. Entretien avec son réalisateur, Lamine Ould Mohamed Salem.
La semaine de l’entre-deux tours des élections régionales en France a vu fleurir plusieurs hashtags sur Twitter visant à dénoncer le comportement de la gauche de gouvernement à l’égard des minorités.
Il sont Marocains, Algériens ou encore Tunisiens. Ils ont entre 21 ans et 50 ans. Pour Jeune Afrique, ils racontent leurs expériences sur Tinder, Badoo et autres Happn.
Depuis le 7 décembre, les toiles du street artiste allemand Hendrik Beikirch sont exposées au Jardin Rouge, à quelques kilomètres de Marrakech. Voyage au milieu de portraits marqués par le temps.
Sous prétexte qu’ils manquent d’expérience, les jeunes sont souvent tenus à l’écart de la vie publique. Mais certains ne l’entendent pas de cette oreille et poussent la porte.
Spécialiste des questions de démocratie participative et de gouvernance urbaine, Mustapha El Mnasfi, 37 ans, est chercheur associé en sciences politiques au Centre Jacques-Berque de Rabat, sa ville natale. Au niveau national comme à l’échelon local, il étudie la participation des jeunes aux politiques publiques. Et à la politique en général.