Porté par des partenariats solides, le pays de la Corne augmente substantiellement la part de renouvelable dans sa production électrique. Son ambition déclarée – devenir le premier premier pays d’Afrique à utiliser une énergie entièrement verte –, naguère moquée, n’est pourtant pas dénuée de fondement.
La bonne maîtrise de la crise sanitaire liée au Covid-19, le redémarrage rapide de l’économie et l’absence de réelle opposition suffiront-ils pour garantir à Ismaïl Omar Guelleh une nouvelle réélection à la tête de Djibouti ?
Avec l’avancée de ses paris logistiques et portuaires, le pays semble être devenu indispensable à ses voisins comme à ses partenaires. La diversification bat son plein et les perspectives de croissance sont très favorables.
Ismaïl Omar Guelleh briguera, le 9 avril, un cinquième mandat face à un quasi-inconnu, Zakaria Ismaïl Farah. Fort de son bilan économique et sanitaire, le chef de l’État entend mieux répartir les fruits de la croissance.
À deux semaines de la présidentielle, le chef des jihadistes somaliens a appelé à frapper « les intérêts américains et français » à Djibouti. Les autorités prônent « la vigilance absolue ».
Ses débuts en politique, son engagement contre l’apartheid, ses relations avec Boumédiène, Houphouët-Boigny, Bongo ou encore Chirac… En avril 2020, l’ancien président malgache, décédé le 28 mars à Antananarivo, déroulait pour JA la bobine de ses souvenirs.
Les résultats de l’autopsie diligentée par la justice française après la mort de l’opposant, candidat à la présidentielle face à Denis Sassou Nguesso, écartent la thèse de l’empoisonnement.
L’opposant congolais, 61 ans, principal adversaire de Denis Sassou Nguesso à la présidentielle du 21 mars, est décédé aux premières heures du lendemain, le 22. Voici le récit des jours qui ont précédé son évacuation à Paris.
Décédé lundi 22 mars à l’âge de 61 ans, considéré comme le seul opposant de poids face à Denis Sassou Nguesso dans la présidentielle, il tentait pour la seconde fois de battre le chef de l’État congolais, dont il fut un ministre.
Si Londres n’a pas encore dévoilé de stratégie claire en amont du sommet prévu en novembre à Glasgow, le secteur des nouvelles technologies liées à l’environnement est l’un des principaux atouts des entreprises britanniques, en particulier en Afrique.
À l’heure du Brexit et de la pandémie de Covid-19, Emma Wade-Smith, première commissaire pour le commerce jamais nommé au Royaume-Uni pour gérer les relations avec l’Afrique, se veut optimiste sur l’évolution des échanges entre Londres et le continent.
Entre la chute des cours du brut et le Covid-19, la capitale économique congolaise a perdu des points de croissance et des emplois, notamment dans le secteur des hydrocarbures. Mais les activités portuaires devraient permettre de garder le cap.
Au pouvoir depuis la fin de 2018, Andry Rajoelina a vu la Grande Île subir de plein fouet les conséquences de la pandémie de Covid-19. À lui maintenant de prouver à ses électeurs qu’ils ont fait le bon choix.
Le Congo a retrouvé l’aide du FMI en juillet 2019 avant de la voir suspendue six mois plus tard, faute d’accord avec ses créanciers Glencore et Trafigura. La situation pourrait se débloquer au cours de ce premier semestre.
Malgré ses parcs nationaux, son littoral, ses aires protégées, sa forêt tropicale, sa flore et sa faune sauvage exceptionnelle, le pays est encore néophyte en matière d’écotourisme. Mais ces dernières années, quelques trentenaires se sont lancés dans l’aventure… Portraits.
À cheval sur les deux Congos, la plus vaste zone de tourbières tropicales de la planète doit à tout prix être préservée. Sous peine de voir ce gigantesque piège à CO2 devenir une véritable bombe à retardement climatique.
Élément-clé du soft power diplomatique de Brazzaville, le Bassin du Congo sera au cœur des enjeux écologiques de la COP26, prévue en Écosse en novembre. Objectif : préserver cet écosystème unique au monde et faire prendre conscience des enjeux cruciaux qui s’y jouent.
À mi-mandat, et alors que l’OIF fête cette année son 50ème anniversaire en Tunisie, la secrétaire générale de l’organisation revient sur son bilan, ses projets, et répond aux critiques sur son mode de management.
Le rétablissement du programme prévu avec le FMI, suspendu tant que les discussions entre l’État et les négociants pétroliers n’auront pas abouti, est la principale urgence du Premier ministre congolais.
À l’occasion, l’an passé, du soixantième anniversaire de l’indépendance de la Grande Île, le chef de l’État Andry Rajoelina n’a eu de cesse de vouloir faire vibrer la corde patriotique de la population. Une stratégie qui a connu des fortunes diverses, et même quelques ratés.
À l’heure où s’ouvre la campagne pour la présidentielle fixée au 21 mars, tout le monde ou presque s’accorde à dire que Denis Sassou Nguesso sera probablement reconduit pour un quatrième mandat. Sans que cela ne provoque de remous.
Lors du sommet du 20 janvier dernier, organisé en visioconférence, le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a rassuré ses partenaires africains : la Grande-Bretagne post-Brexit garde toutes ses ambitions pour le continent. Mais sans rien proposer de vraiment nouveau.
Plan émergence Madagascar, dépréciation de l’ariary, Covid-19, situation d’Air Madagascar… Jeune Afrique a rencontré le représentant du FMI sur la Grande Ile.
En 2015, l’aîné, Guy-Brice Parfait, quittait le gouvernement, et son cadet, Euloge Landry, y entrait. S’ils revendiquent tous deux les valeurs prônées par leur père, les fils de l’ancien Premier ministre Bernard Kolélas sont devenus frères ennemis.
À la veille de l’ouverture de la campagne électorale, le secrétaire général du parti au pouvoir revient sur les objectifs de son mandat à la tête de la formation et sur le soutien inconditionnel que celle-ci compte apporter à son candidat, le président Denis Sassou Nguesso.
Le premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale, chef de file de l’opposition congolaise, a annoncé qu’il ne serait finalement pas candidat à la présidentielle du 21 mars prochain.
Le chef de l’État congolais a annoncé, le 23 janvier, qu’il briguerait un quatrième mandat consécutif le 21 mars. Ancien officier parachutiste aujourd’hui âgé de 77 ans, il portera les couleurs du Parti congolais du travail (PCT) et des formations de la majorité présidentielle.
Si les grands groupes italiens sont déjà présents sur le continent, les PME hésitent encore à franchir le pas. Pour les encourager, des organismes ad hoc multiplient les initiatives.
Toujours propriété de leurs familles fondatrices respectives, ces armateurs génois et napolitain sillonnent les océans depuis des siècles. Et s’en portent toujours bien.