De retour à la tête de l’archipel au terme d’un scrutin controversé, le colonel affirme vouloir reprendre le pays en main et ne plus s’accorder le droit à l’erreur. Entretien.
Depuis sa création en 2001, le programme de développement est critiqué pour son inefficacité. Sous l’égide de l’ex-Premier ministre nigérien Ibrahim Assane Mayaki, sa relance semble prometteuse.
Pour la première fois, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) consacre une étude – rendue publique jeudi – aux 60 millions de filles sur la planète qui ont dix ans aujourd’hui – dont 20% sont en Afrique subsaharienne. Plus de la moitié d’entre elles vivent dans les pays du monde où l’inégalité des sexes est la plus marquée et 16 millions de filles âgées de six à onze ans n’iront jamais à l’école.
Dans la capitale, le boom des motos-taxis fait le bonheur des marques asiatiques. Fer de lance du secteur des deux-roues, Honda adapte ses modèles aux infrastructures routières locales.
La toute nouvelle liaison ferroviaire entre Djibouti et Addis-Abeba a été inaugurée le 5 octobre dans la capitale éthiopienne. Elle pourrait être le premier maillon d’une « transafricaine » qui rejoindrait Douala et le golfe de Guinée.
L’ancien courtier préside le cercle d’affaires Suisse-Afrique. Une association B2B qui constitue une plateforme d’échanges unique pour le secteur privé helvétique.
Les leaders mondiaux de la certification sont suisses. Leurs services sont de plus en plus sollicités en Afrique, où les besoins en la matière sont importants, notamment dans les ports.
Neutre, solidaire, rigoureuse, discrète mais influente… La Suisse dit avoir bonne réputation sur le continent et compte bien la cultiver. Tout en donnant de la visibilité à ses relations bilatérales, notamment en matière de business.
L’École polytechnique fédérale de Lausanne dispose d’un gros catalogue de cours en ligne gratuits. Sur le continent, notamment en Côte d’Ivoire et en RD Congo, ses moocs sont un succès. Une quinzaine d’universités africaines se lancent à leur tour.
La Suisse est le siège de nombreuses organisations telles que l’ONU ou la banque mondiale. Beaucoup d’Africains y travaillent, parfois à des postes stratégiques. Mukhisa Kituyi par exemple est le secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced).
Près d’un siècle après le lancement du chemin de fer franco-éthiopien, qui continuait péniblement d’assurer un service passager entre Djibouti et la ville éthiopienne de Dire Dawa, le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn, a inauguré en grande pompe mercredi la toute nouvelle liaison ferroviaire entre Addis-Abeba et Djibouti.
Plus de la moitié des Africains vivront en ville à l’horizon 2030, ce qui entraînera des défis en terme de planification urbaine et de développement. Autant de questions à l’ordre du jour de la 16e édition du Forum économique international sur l’Afrique, organisé par l’Organisation de coopération et développement économique (OCDE) à Paris.
Dans son 36ème rapport, la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement (Cnuced) appelle à mettre l’accent sur l’industrie dans la modernisation des économies émergentes. Pour le responsable des politiques macroéconomiques de l’institution onusienne, Alfredo Calcagno, le rôle des Etats est essentiel dans ce processus.
La compagnie Air Djibouti relance son activité de transport de passagers. Aux manettes : le chanteur du groupe de heavy metal britannique Iron Maiden, par ailleurs pilote chevronné.
Logistique minière, conseil en management, transactions électroniques… Ces deux patrons de RD Congo ont développé des services sur mesure pour les investisseurs et les constructeurs.
Abdoulaye Mar Dieye, responsable du bureau Afrique du Programme des Nations Unies pour le développement, est revenu pour « Jeune Afrique » sur le rapport inédit de l’institution onusienne sur le manque à gagner engendré par les disparités de genre en Afrique subsaharienne.
Hiroyuki Ishige, président de l’Organisation japonaise du commerce extérieur (Jetro, Japan External Trade Organization), a répondu aux questions de « Jeune Afrique » sur la mise en oeuvre des promesses faites durant la 6e Conférence de Tokyo pour le développement en Afrique (Ticad VI), organisée les 27 et 28 août à Nairobi.
La Banque africaine de développement (BAD) a été l’un des principaux acteurs de la 6e Conférence de Tokyo pour le développement en Afrique (Ticad VI), organisée les 27 et 28 août à Nairobi. Charles Boamah, vice-président pour la finance de la BAD, a répondu aux questions de « Jeune Afrique » sur la place de l’institution panafricaine dans la coopération entre le Japon et les pays du continent.
La sixième édition de la Conférence de Tokyo pour le développement en Afrique (Ticad VI), qui se déroule pendant deux jours à Nairobi, a officiellement ouvert ses portes le 27 août.
La conférence internationale de Tokyo pour le développement en Afrique, 6ème du nom (Ticad VI), vient à peine d’ouvrir ses portes qu’elle s’annonce déjà comme un succès pour le Japon et pour ses partenaires africains réunis les 27 et 28 août à Nairobi. Reportage sur place et interview de Yasuhisa Kawamura, porte-parole et directeur-général de la communication du ministère des Affaires étrangères.
Accueil d’étudiants dans les universités et au sein des entreprises, stages professionnels… L’un des axes majeurs de la coopération japonaise est de faire s’épanouir les talents.