En tant que « Monsieur Afrique » du ministère des Affaires étrangères, l’ambassadeur japonais assure le secrétariat général de la Ticad. Et revient sur les relations entre son pays et le continent.
L’archipel change. Le continent aussi. C’est le moment d’engager un partenariat plus visible et plus diversifié. Ce sera le thème central de la 6e Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique, à Nairobi, au Kenya, les 27 et 28 août.
Croissance presque nulle, recul des exportations, vieillissement de la population… Affaibli, le pays du Soleil-Levant mise sur le développement de son secteur privé en Afrique.
Quatre ans après la reprise de CFAO par Toyota Tsusho Corporation (TTC), Richard Bielle, le président du directoire du groupe, revient sur l’arrivée des Japonais au sein de ce fleuron du secteur privé français en Afrique.
Face à la mondialisation, les îles et archipels du Sud-Est africain souhaitent dépasser leurs différences pour s’unir. Sous la houlette de la Commission de l’océan Indien, qui a fait de l’intégration régionale son objectif principal.
En tant que secrétaire général de la COI, l’ancien Premier ministre comorien poursuivra le travail engagé par son prédécesseur pour apporter plus de visibilité à une organisation qui en manque tant.
Réélu pour un quatrième mandat, Ismaïl Omar Guelleh renouvelle son équipe ministérielle en profondeur pour s’attaquer au pire ennemi du pays : le chômage.
Peu lui importe que l’Érythrée n’ait pas bonne presse. Le ministre des Affaires étrangères, Osman Saleh, est convaincu que son pays fait l’objet de critiques injustes et qu’il peut encore attirer des investisseurs.
L’annonce prématurées jeudi des résultats provisoires du scrutin partiel, confirmant la courte avance d’Azali Assoumani, ont à nouveau jeté le trouble aux Comores.
Déforestation, spoliation des terres, conditions de travail… Le groupe belgo-luxembourgeois, dont l’homme d’affaires français est actionnaire, concentre les critiques sur la gestion de ses plantations.
Après avoir menacé de déraper au lendemain du second tour organisé le 10 avril, l’élection présidentielle comorienne semble avoir retrouvé les chemins de la légalité constitutionnelle. Le scrutin partiel organisé ce mercredi 11 mai à Anjouan clôture un processus électoral aussi long que tendu dans l’archipel qui, depuis un mois, attend de connaître le nom de son futur président.
Réélu sans surprise et haut la main, avec plus de 86 % des suffrages obtenus dès le premier tour de l’élection présidentielle organisée le 8 avril à Djibouti, Ismaïl Omar Guelleh (IOG) a été officiellement investi dans ses fonctions le dimanche 8 mai, au Palais du Peuple de la capitale.
Bientôt une semaine après l’annonce des résultats du second tour des élections présidentielles organisées le 10 avril, et l’Union des Comores ne connaît toujours pas le nom de son président.
La présidentielle a lieu le 8 avril, et c’est peu dire que l’opposition est désunie : la coalition de l’USN est même au bord de l’explosion ! Et cela ne peut qu’arranger le chef de l’État sortant.
Il aurait volontiers savouré une retraite paisible, assure-t-il, mais à l’en croire ses concitoyens ne l’entendaient pas de cette oreille. Au pouvoir depuis 1999, le chef de l’État sera candidat à sa propre succession le 8 avril, et le scrutin s’annonce sans surprise.
Avant Banjul en juin, Djibouti accueille les 14 et 15 mars, la première réunion préparatoire de la sixième conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (Ticad), qui se déroulera en août prochain à Nairobi, au Kenya.
Une conférence sur les investissements du secteur privé, tenue à Kinshasa les 24 et 25 février, est la première matérialisation du volet économique de l’Accord-cadre pour la Paix, la Sécurité et la Coopération pour la RDC et la région des Grands lacs signé par 11 pays en février 2013. Un rendez-vous qui en appelle d’autres. Reportage.
Avec le réchauffement climatique, le continent semble promis au pire : sécheresses, montée des eaux, crises alimentaires… À moins qu’il n’en profite pour devenir un champion du développement durable ?
La Cour constitutionnelle des Comores a invalidé la candidature d’Hachim Saïd Hassane à l’élection présidentielle car son colistier ne possède pas de carte d’électeur biométrique. Ce dernier, handicapé, se déplace à l’aide de ses mains et ses empreintes digitales sont donc élimées.
C’est tout sauf une surprise. Ismaïl Omar Guelleh, le président de la République djiboutienne est officiellement depuis le 8 janvier le candidat de l’Union pour la majorité présidentielle (UMP) pour le scrutin organisé le 8 avril prochain.