Technip vient de signer un contrat de 500 millions d’euros avec Total au Congo-Brazzaville pour développer le gisement offshore de Moho Nord. Les travaux doivent débuter en 2014.
Quelques mois après CMA-CGM qui a vendu 49 % de Terminal Link, sa filiale portuaire, c’est au tour de la compagnie maritime MSC (Mediterranean Shipping Company) de céder une partie de sa branche portuaire pour près de 2 milliards de dollars.
Pour l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), aujourd’hui c’est déjà demain. L’édition 2013 du Forum mondial sur le développement, organisée les 4 et 5 avril à Paris par l’institution internationale, s’est penchée sur la redéfinition des Objectifs du millénaire pour le développement, adoptés en 2000 par l’ONU et prévus pour être atteints en 2015.
Le leader du transport express triple ses points de vente en Afrique subsaharienne. Dans son sillage, UPS, FedEx et TNT voient le continent comme un relais de croissance.
L’organisation fin mars à Paris de l’édition 2013 de l’International Rubber Conference a été l’occasion de souligner les grandes tendances actuelles du marché mondial du caoutchouc. L’Afrique ne tire pas suffisamment profit de son potentiel.
Comme cela a été confirmé lundi 25 mars par un communiqué de Bolloré, le consortium franco-danois emmené par APMT a remporté l’appel d’offres pour la construction et la gestion du deuxième terminal à conteneurs du port d’Abidjan. Un choix surprenant pour nombre d’observateurs qui soulignent l’importance du montant de l’offre financière et le manque de concurrence qui risque de découler de cette situation de monopole.
Alors qu’il vient d’annnoncer sa volonté de se désengager du port de Hong Kong, DP World se tourne toujours plus vers les marchés émergents. La compagnie prévoit notamment de dépenser plus de 400 millions de dollars dans le projet Port du Futur, attendu à Dakar pour 2015.
Fondé en 2011 par des investisseurs privés, le groupe hôtelier alimente les conversations à Libreville. Du côté des faits, le bilan est clair : trois établissements prestigieux sont déjà passés sous sa coupe.
En Afrique, le groupe hôtelier Marriott va passer de 9 à 55 établissements au minimum d’ici à 2020. Parmi les priorités figurent l’Algérie mais aussi plusieurs villes marocaines et tunisiennes.
Mövenpick souhaite disposer d’une trentaine d’adresses en Afrique d’ici à 2016, contre 23 aujourd’hui. Le continent pourrait alors représenter 30% des revenus de la chaîne hôtellière.
La société française de services maritimes a présenté un chiffre d’affaires en hausse de 17,7% à 1,2 milliard d’euros pour 2012. Elle veut profiter de ce contexte favorable pour épurer ses dettes, estimées à 2 milliards d’euros.
L’équipementier automobile allemand Bosch met les gaz au Maghreb. Il vient d’ouvrir le plus grand Bosch Car Service (BCS) du Maghreb à Casablanca. En plus d’un atelier mécanique, ce centre dispose également d’un centre de formation.
Les investisseurs ont encore en tête la crise postélectorale de 2007-2008. Depuis, Nairobi a renoué avec une croissance de plus de 5 %, mais seul un scrutin apaisé permettra de consolider ces acquis.
Patrick Obath, 50 ans, est président depuis 2009 de la Kenya Private Sector Alliance (Kepsa). L’organisation patronale revendique près de 80 000 membres tous secteurs confondus.
À partir du mois d’avril, l’Union européenne impose un seuil maximal de métal lourd dans les fèves de cacao et les produits dérivés. Les pays producteurs, inquiets, réclament un moratoire de cinq ans.
La compagnie maritime Safmarine MPV (Multi purpose vessel) a annoncé le 25 février qu’elle s’émancipait un peu plus de sa maison mère AP Moller Maersk, en quittant l’agent maritime du groupe pour signer un accord, effectif à partir du 1er avril prochain, avec la Socopao.
À moins d’un mois des résultats de l’appel d’offres concernant la réalisation et l’exploitation du deuxième terminal à conteneurs (TC2) du port d’Abidjan, les opérateurs peaufinent leurs dossiers et soignent leur communication. Parmi eux, le consortium Necotrans/Delmas/CMA CGM fait presque figure de favori.
Pour la première fois, les pays en développement concentrent la majorité des surfaces cultivés avec des OGM. En Afrique, elles ont augmenté de 25% en un an.
Le tout-libéral ayant fait long feu, la récolte des fèves est désormais régie par un système de prix minimum garanti. Les planteurs apparaissent déjà comme les grands gagnants de la réforme.
Conscients de leur potentiel géothermique, de plus en plus d’Etats d’Afrique de l’Est se tournent vers cette nouvelle sources d’énergie soutenus par la Banque africaine de développement.
À peine cultivé il y a dix ans, l’anacarde vient de se hisser sur le podium des produits agricoles d’exportation du pays, derrière le cacao et le latex.
Contrairement aux premières informations relayées par l’agence de presse espagnole EFE, aucun accord n’a pu être conclu entre le Maroc et l’Union européenne concernant le renouvellement du protocole de pêche entre les deux partenaires.
Le groupe Louvre Hotels a annoncé le 12 février la signature d’un contrat de partenariat avec le groupe marocain Ynna Holding, d’une durée de huit ans renouvelables.
L’engouement des miniers australiens pour l’Afrique ne se dément pas. Mais face à la surenchère de projets, la levée de fonds sur l’Australian Securities Exchange (ASX) devient plus difficile.
Des réformes ont permis de réduire le nombre d’assureurs et de restaurer leur crédibilité. Nettement sous-développé, le marché connaît une nouvelle jeunesse et attise les convoitises.
Forte de son économie florissante et dopée par l’essor de sa classe moyenne, l’Afrique échange de plus en plus avec le reste du monde, essentiellement par voie maritime. Une aubaine pour les opérateurs, qui renforcent leurs lignes à destination du continent.
Le premier transporteur mondial de conteneurs réduit la voilure en Asie, mais l’Afrique reste au coeur de la stratégie de développement d’AP Moller-Maersk.