Pour juguler la crise de l’énergie, l’Afrique subsaharienne a besoin de plus de 200 milliards de dollars, indiquent le président sénégalais et le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale, à quelques heures de l’ouverture de la COP28.
Pour enrichir les terres cultivables afin de nourrir les populations, la sous-région doit capitaliser sur ses importantes réserves de phosphates et de gaz.
La crise sanitaire a révélé l’impérieuse nécessité d’un accès démocratique et équitable à une connectivité de haut débit abordable et sécurisée. Pour cela, gouvernements, secteur privé et sociétés civiles doivent collaborer.