Sa ville, le journaliste et romancier Adlène Meddi l’a dans la peau. Il en a fait un personnage à part entière de son dernier polar, La Prière du Maure, et nous emmène en balade, de la rue Didouche-Mourad à Bab el-Oued.
Censurée sous le régime de Moubarak, l’ancienne assistante de Youssef Chahine, Nermine Hammam, présente à Paris ses travaux consacrés à son pays. De la plage à l’asile psychiatrique.
Du 10 au 31 décembre, le Festival mondial des arts nègres, qui se tient à Dakar, met à l’honneur le Brésil, le plus africain des pays d’Amérique latine.
À travers le doublage en arabe de feuilletons et de films américains, Brahim Irbanisator raconte des tranches de vie algériennes. Ses vidéos mises en ligne sur internet remportent un vif succès.
L’intellectuelle et poétesse libanaise Joumana Haddad publie « J’ai tué Schéhérazade ». Un essai dans lequel elle s’attaque à l’image négative et exotique des femmes arabes.
Après celui d’Ulysse, l’écrivain algérien Salim Bachi réinterprète le mythe de Sindbad le Marin. Dans une écriture poétique et incandescente qui tient en haleine jusqu’à la dernière ligne.
En Éthiopie, premier pays d’Afrique à avoir ouvert une salle de projection, la culture du septième art reste vivace. Et une nouvelle génération de réalisateurs vient bousculer les traditions avec des bouts de ficelle.
Dessin, film, collage, sculpture, photographie… L’artiste multiforme sud-africain a su créer un univers poétique original. Le Jeu de paume, à Paris, lui consacre une large rétrospective.
Né de parents algériens, ce fils de la banlieue parisienne s’en est allé planter deux drapeaux au sommet de l’Everest : celui de la France et celui de l’Algérie.
Ils ont la trentaine et sont noirs. En décrivant l’univers du township de l’intérieur et dans une langue pleine de musicalité, les écrivains postapartheid insufflent jeunesse et dynamisme à la littérature sud-africaine.
Apartheid, sida, racisme… Dans des œuvres récemment présentées à Paris, les chorégraphes exhibent les blessures et les cicatrices de la nation Arc-en-Ciel.
À l’instar du « Terroriste n° 20 », d’Abdullah Thabit, les romans traitant de l’islamisme et des maux de la société saoudienne sont de plus en plus nombreux. Malgré la censure.
Remarqué pour son roman » Waltenberg « , paru en 2005, le poète, essayiste et traducteur d’origine tunisienne revient avec deux textes remarquables : un court roman et un journal. Interview.
Incroyable destinée que celle de ce Gabonais devenu acteur dans des films d’arts martiaux chinois. Et qui promeut aujourd’hui le wushu en Afrique et dans le monde.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’amour et le sexe dans le monde arabo-musulman : c’est sur scène, dans les dernières créations du Tunisien Lotfi Achour et de la Néerlandaise Adelheid Roosen.
Pour la première fois, douze artistes subsahariens présentent leurs œuvres dans l’État hébreu. Les commissaires de l’exposition veulent ainsi familiariser les Israéliens avec le continent.