Correspondant de Jeune Afrique au Cameroun, il couvre l’actualité de ce pays en particulier et de l’Afrique centrale en général, avec un intérêt marqué pour l’économie et la finance. Il s’intéresse également aux institutions communautaires de la sous-région.
Le Tribunal criminel spécial (TCS) de Yaoundé reproche à Mohammed Iya d’avoir détourné 10,9 milliards de F CFA (16,6 millions d’euros). L’ex président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) compte introduire un pourvoi auprès de la Cour suprême du Cameroun.
S’étalant sur vingt ans, les investissements porteront essentiellement sur l’installation d’équipements permettant une augmentation progressive de l’activité annuelle de 1,4 millions à plus de 3 millions de tonnes de fret.
Confrontés à la chute des prix des matières premières et à la dépréciation de leurs monnaies, les pays producteurs s’impatientent… Difficile pour ces institutions d’échapper aux pressions politiques.
Le consortium Bolloré/CMA CGM/CHEC remporte l’appel d’offres pour la gestion du terminal à conteneurs du port de Kribi au Cameroun, tandis que l’exploitation du terminal polyvalent revient au groupement Necotrans/KPMO, a appris en exclusivité « Jeune Afrique ».
Dans ce dossier, tour d’horizon de huit PME africaines qui rêvent de conquérir l’Amérique grâce à l’Agoa, accord de libre-échange avec les États-Unis reconduit jusqu’en 2025.
Yaoundé s’apprête une nouvelle fois à émettre un emprunt obligataire. Mais refroidies par les amendes retentissantes qui ont déjà suivi ce type d’opération, les banques se méfient des titres publics.
Quel est le secret de la réussite du businessman le plus riche d’Afrique ? Grâce à quelles connexions a-t-il pu bâtir un véritable empire au Nigeria ? Et pourquoi les autres pays du continent lui résistent-ils encore ? Jeune Afrique a mené l’enquête.
La campagne cacaoyère 2015/2016 a débuté au Cameroun le 07 août. L’occasion pour le directeur général de l’Office de cacao et de café (ONCC) de dresser le bilan de la saison écoulée et d’évoquer les ambitions de la filière cacao dans le pays d’Afrique centrale.
L’engagement est contenu dans l’avenant N°2 au contrat de concession signé le 07 août entre l’Etat du Cameroun et la filiale d’Actis. Cet accord entérine également le transfert des barrages de retenue de Bamendjin, de Mbakaou et de la Mapé, jusqu’à présent gérés par Eneo, à Electricity Development Corporation (EDC).
Elle progresse de 22 625 tonnes (+9,8 %) au terme de la campagne 2014/2015 qui s’est achevée le 15 juillet. La prochaine s’ouvre le 07 août, à Ayos, dans le centre du pays.
L’accord de financement signé le 30 juillet, à Douala, permettra à la banque camerounaise de disposer de garanties pour financer des entreprises d’import-export.
La chute du prix du baril a enrayé le moteur de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale. Sa croissance pour 2015 devrait se situer bien en dessous des espérances. Et ses États membres, dans une situation financière préoccupante, mettent un frein à leurs grands projets.
Arrangeur d’un emprunt obligataire étatique émis en décembre 2013, la SCB vient d’être condamnée par le régulateur boursier à payer 150 millions de F CFA et à restituer 473 millions de F CFA à l’Etat du Cameroun.
Le ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey a donné son aval. La filiale du groupe marocain peut désormais déployer son dispositif de bancassurance, en attendant l’aboutissement du dossier de la branche non vie.
La Banque des Etats de l’Afrique centrale ramène de 4,2% à 2,8% sa prévision de croissance pour la zone Cemac en 2015.
Conséquence d’une conjoncture pétrolière morose et de l’insécurité autour du lac Tchad et en Centrafrique.
Aliko Dangote a annoncé la construction d’une nouvelle cimenterie, d’une capacité de production annuelle de 1,5 million de tonnes , et fait part de son intérêt pour les hydrocarbures, le riz et le sucre camerounais.
Le Tchadien Abbas Mahamat Tolli, nouveau président de la Banque de développement des États de l’Afrique centrale, doit regagner la confiance des investisseurs et achever ses réformes de gouvernance.
Grâce à une stratégie marketing bien huilée, le leader du marché national des cosmétiques exporte dans une vingtaine de pays. Prochaine étape : un vaste déploiement industriel en Afrique.
Première femme à diriger une filiale de MTN, l’énergique Sud-Africaine est venue au Cameroun pour booster la 3G . Un défi à la hauteur de sa boulimie de travail.
L’accord-cadre du 18 juin entre la China Development Bank et la filiale camerounaise du groupe bancaire africain vise à créer une co-entreprise pour financer des PME. La banque chinoise consolide ainsi ses partenariats bancaires en Afrique, après avoir signé des accords avec Société Générale et Barclays en mars 2014.
Le Cameroun a dû accélérer les négociations pour le rachat de centrale thermique du groupe Aggreko à Yaoundé (60 MW). Découvrez comment le leader mondial des solutions énergétiques temporaires a obtenu gain de cause.
Ce prêt souverain concessionnel, ayant une maturité de 20 ans, s’ajoute aux 132,6 millions d’euros initialement octroyés pour financer des aménagements complémentaires.
Le Cameroun et la filiale de l’opérateur français ont signé un protocole d’accord le 08 juin. Ils débourseront respectivement 25 et 15 millions de dollars pour adhérer au consortium gérant ce câble sous-marin. Orange investira 1,5 milliard de F CFA pour construire la station d’atterrissement dans la cité balnéaire de Kribi.
Ce prêt syndiqué, remboursable sur cinq ans, permettra à la filiale du groupe sud-africain de renforcer son réseau 3G et comporte – une première au Cameroun – une facilité de crédit renouvelable pour la même période.
L’entrée en production de nouveaux champs et la réactivation de certains sont à l’origine de cette performance dont la dernière remonte à 2002. Elle illustre la tendance haussière de la production dont le pic devrait se situer en 2016, selon la Société nationale des hydrocarbures (SNH).
La cimenterie de Medcem Cameroun, filiale du turc Eren Holdings, entrera en activité courant juin. Une arrivée sur un marché concurrentiel – où sont présents le français Lafarge, le marocain Ciments d’Afrique et le nigérian Dangote – qui portera la capacité totale de production à 4,1 millions de tonnes.
Concentration, diversification, restructuration… À la tête du Groupe Fadil depuis vingt-six ans, ce Camerounais peine à le maintenir à flot. Au point de préparer sa reconversion ?