Journaliste spécialisé sur l’Afrique subsaharienne, il écrit plus particulièrement sur l’Afrique du Sud, la RD Congo et le Rwanda. Anglophone, il s’intéresse aussi aux relations entre les États-Unis et l’Afrique, aux nouveaux « mouvements citoyens » du continent ainsi qu’à la Francophonie.
Étienne Tshisekedi rencontrait depuis longtemps des problèmes de santé, qui lui avaient valu plusieurs hospitalisations en Europe. C’est à Bruxelles, suite à une opération, qu’il s’est éteint le 1er février.
L’opposant congolais a fait cette déclaration en marge de la messe donnée jeudi en l’honneur d’Étienne Tshisekedi à la Basilique du Sacré-cœur de Bruxelles, où étaient rassemblés de très nombreux Congolais ainsi que des représentants politiques belges et français.
Étienne Tshisekedi était l’un des personnages clés de l’accord politique signé à Kinshasa entre le gouvernement et l’opposition. Sans lui, le grand changement démocratique devient délicat.
La date du rapatriement du corps d’Étienne Tshisekedi à Kinshasa n’est toujours pas fixée avec certitude. Une partie de sa famille et de son parti souhaite que son fils, Félix, soit nommé Premier ministre avant les obsèques nationales.
Souvent absente, la présidente sortante de la Commission de l’Union africaine a beaucoup déçu. Peut-être parce que, dès l’origine, l’ex-épouse de Jacob Zuma a utilisé l’institution pour ses ambitions plus qu’elle ne l’a servie.
L’opposant historique Étienne Tshisekedi est mort ce mercredi aux cliniques de l’Europe-Sainte Élisabeth, dans la capitale belge. Il avait été évacué à Bruxelles à bord d’un jet privé le 24 janvier pour un « check-up médical ».
Ce n’est peut-être pas une mission impossible, mais celle-ci est assurément difficile. Erwan Davoux, 45 ans, est candidat pour Les Républicains (LR) dans la 9e circonscription des Français de l’étranger (Afrique du Nord et de l’Ouest). Il s’agit de sa première campagne législative.
Art contemporain, José Eduardo dos Santos et sa fille, Joseph Kabila et Moïse Katumbi, Sonangol… Loin d’esquiver les questions délicates, le collectionneur Sindika Dokolo répond sans tabou à Jeune Afrique.
L’opposant congolais Étienne Tshisekedi, âgé de 84 ans, doit quitter Kinshasa dans les heures qui viennent pour effectuer un « check-up médical » en Belgique, a indiqué sa famille à Jeune Afrique. Une absence qui ne remet pas en cause l’application de l’accord politique du 31 décembre, assure l’opposition.
Qui succédera à Jacob Zuma pour prendre le rôle de président du parti sud-africain, en décembre prochain ? Un résumé en images de la situation de l’ANC.
Si la quasi-totalité des politiques congolais sont tombés d’accord le 31 décembre 2016, tous ne tirent pas les mêmes bénéfices de ce compromis, notamment en vue de la présidentielle.
Le président Joseph Kabila et les principaux leaders de l’opposition sont parvenus à un accord inédit, mais fragile, pour organiser les élections d’ici à la fin de 2017. Qui ne résout pas tous les problèmes, tant s’en faut.
L’homme d’affaires et collectionneur d’art congolais Sindika Dokolo, époux d’Isabel dos Santos, la femme la plus riche d’Afrique, et donc gendre du président angolais, a accordé une interview exclusive à Jeune Afrique. Sur sa femme, comme sur les présidents angolais Eduardo dos Sandos et congolais Joseph Kabila, il parle sans tabou.
Le Congo et l’Angola, les deux pays géographiquement les plus proches de Kinshasa, l’épicentre de la crise congolaise, ont tous deux mis leur poids dans la balance pour obtenir l’accord du 31 décembre.
Le petit-neveu du héros de l’indépendance congolaise, Patrice Lumumba, ancien cadre de banque à l’origine de l’affaire BGFI, a accordé une interview exclusive à Jeune Afrique.
Le 12 décembre, les États-Unis et l’Union européenne ont annoncé de nouvelles sanctions économiques individuelles contre neuf responsables congolais. Par cette action coordonnée, les Occidentaux veulent inciter Joseph Kabila à organiser au plus vite l’élection présidentielle reportée. Décryptage d’un dispositif que le pouvoir juge « illégal » et « improductif ».
Les pourparlers entre l’opposition et la majorité présidentielle organisés sous l’égide de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) s’achèveront le 15 décembre, a affirmé dimanche le « Rassemblement » de l’opposition congolaise, regroupement politique rangé derrière l’opposant historique Étienne Tshisekedi.
C’est dans les rues de la capitale congolaise que tout pourrait se jouer quand le mandat du président Joseph Kabila aura officiellement expiré, le 19 décembre. Portrait d’une ville gigantesque et bouillonnante, traditionnellement acquise à l’opposition mais difficile à mobiliser.
Au lendemain du XVIe sommet de la Francophonie, qui se tenait à Madagascar, le président Hery Rajaonarimampianina a reçu Jeune Afrique dans son palais d’Iavoloha, vaste bâtisse bâtie du temps de la république socialiste avec l’aide de la Corée du Nord.
Isabel Ruth Tshombe a remporté le morceau. La représentante du président congolais Joseph Kabila pour la francophonie a obtenu que la résolution du sommet de l’Organisation internationale francophonie sur le dialogue politique en RD Congo soit considérablement édulcorée. Le ministre des Affaires étrangères Raymond Tshibanda était lui aussi présent.
Deux candidats à la présidence de la Commission de l’Union africaine (UA), Abdoulaye Bathily et Moussa Faki Mahamat, ont fait campagne en coulisses, tandis que le Maroc a continué d’évaluer le nombre de ses soutiens pour un retour au sein de l’organisation.
La Tunisie, candidate à l’organisation du prochain sommet de la Francophonie en 2018, n’a pu l’emporter face à l’Arménie. Elle a toutefois obtenu d’accueillir celui de 2020. Les principaux enseignements du Sommet de Madagascar.
L’émirat, qui n’avait jamais payé ses cotisations depuis son adhésion à l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) en 2012, a réglé les 3,3 millions d’euros qu’il devait. Mais d’autres pays ont toujours des arriérés de paiement.
Malgré le plaidoyer de certains chefs d’États africains en faveur d’une adhésion de l’Arabie saoudite à l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le sommet a estimé que sa candidature devait faire l’objet d’une évaluation préalable.
Le XVIe sommet de la Francophonie s’est ouvert à Antananarivo, ce samedi 26 novembre. Plusieurs chefs d’État africains annoncés n’ont finalement pas fait le déplacement. Voici ce qu’il faut retenir de la cérémonie d’ouverture.
Une trentaine de chefs d’État et de gouvernement sont attendus à Antananarivo pour le XVIe sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), samedi et dimanche. Jeune Afrique passe en revue les enjeux de cette réunion.
Riyad a déposé une candidature pour devenir membre observateur de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Les chefs d’État doivent statuer sur les demandes d’adhésion lors du sommet de la Francophonie qui se tient à Madagascar samedi et dimanche. Mais déjà, cette candidature embarrasse l’organisation