Entre déni, rejet et structures médicales inexistantes, la maladie mentale reste le parent pauvre des systèmes de santé africains. Malgré des besoins immenses, seule une poignée d’établissements, souvent animés par des religieux ou des humanitaires, tente de prendre soin des patients touchés par ces affections dont personne ne veut entendre parler.
Dire ou ne pas dire, taire ou ne pas taire ? Que faire quand on est témoin d’abus insupportables, tolérés parce qu’on est en Afrique, mais que l’on dénoncerait à grands cris s’ils se déroulaient en Europe ?