Journaliste et blogueur politique sénégalais, Papa Ismaila Dieng s’est depuis quelques années spécialisé sur les grands dossiers judiciaires sénégalais. Il a couvert, entre autres, les affaires de la Cour de répression de l’enrichissement illicite au Sénégal (Karim Wade et Tahibou Ndiaye), et le procès de l’ancien président Tchadien Hissein Habré devant les Chambres africaines extraordinaires.
Depuis l’ouverture du réquisitoire et des plaidoiries du procès Khalifa Sall – dit de la caisse d’avance -, achevés ce mercredi, les avocats des deux parties ont pour la majorité subi les remontrances du juge Malick Lamotte, entre mises en garde et expulsions. Alors que les répliques se poursuivent jusqu’à ce vendredi, retour sur ce procès mouvementé tenu d’une main de maître.
Les audiences du procès Khalifa Sall – dit de la caisse d’avance – doivent se terminer ce mercredi avec les dernières plaidoiries de la défense. Les avocats du député et maire de Dakar, contre lequel le procureur a requis sept ans de prison, maintiennent leur stratégie et entendent démontrer que le procès est politique.
La dix-septième journée d’audience du procès de Khalifa Sall a été consacrée, lundi 19 février, aux plaidoiries des avocats des prévenus, après celles des parties civiles et le réquisitoire du parquet. Sept ans de prison ont été requis à l’encontre du député et maire de Dakar, notamment poursuivis pour « détournement », « associations de malfaiteurs », « blanchiment ».
Le procureur de la République a requis sept ans de prison à l’encontre du député et maire de Dakar, ainsi qu’une amende de 5,49 milliards F CFA. Une peine similaire a été réclamée par le ministère public à l’encontre de Mbaye Touré, principal coprévenu de Khalifa Sall.
Depuis le début du procès du député et maire de Dakar Khalifa Sall, poursuivi notamment pour « détournement » et « association de malfaiteurs », l’État et la Ville de Dakar se battent dans l’enclos des parties civiles. Retour sur deux stratégies diamétralement opposées qui ont rythmé les audiences, à quelques heures du réquisitoire.
Le procès de Khalifa Sall et ses sept co-prévenus devant le tribunal de grande instance hors-classe de Dakar est entré dans sa dernière phase : celle des plaidoiries et du réquisitoire.
Trois semaines après l’ouverture du procès du député et maire de Dakar, les débats ont, enfin, abordé le fond de l’affaire, ce mardi 6 février. Khalifa Sall et ses coprévenus comparaissent devant la justice sénégalaise notamment pour « détournement », « associations de malfaiteurs », « blanchiment ».
Après l’ouverture des audiences, le 23 janvier dernier, le procès du député et maire de Dakar a repris ce lundi devant le tribunal correctionnel de Dakar en s’attaquant au fond du dossier. Suite à la bataille procédurale des premiers jours, les prévenus se sont finalement défendus notamment sur les faits de « détournement de fonds ». Sélection.
Après deux jours de suspension, le procès du député et maire de Dakar a repris ce vendredi devant le tribunal correctionnel de Dakar. Toutes les exceptions de nullité soulevées ont été rejetées. Le procès va désormais s’attacher au fond du dossier et aborder les charges qui pèsent sur Khalifa Sall et sur sept agents de la mairie de Dakar.
Le procès du député et maire de Dakar et de ses sept coprévenus, dont les audiences ont démarré le 23 janvier, n’a pour l’instant pas abordé les questions de fonds. Poursuivi notamment pour « détournement de fonds », Khalifa Sall et ses avocats sont engagés dans une bataille procédurale. Jeune Afrique fait le point sur les arguments déployés.
Le procès pour « détournement de fonds » de Khalifa Babacar Sall, député et maire de Dakar, en est à son troisième jour d’audience, ce jeudi. Les débats sur le fond n’ont pas encore commencé : les différentes parties au procès se concentrant sur les aspects de procédures. Suivez ici les débats, heure par heure.
Le procès du député et maire de Dakar, Khalifa Sall, et de sept coaccusés, entame ce mercredi sa seconde journée d’audience. Il est accusé notamment de « détournements de fonds » dans l’affaire dite de la caisse d’avance. Revivez ici les débats devant la chambre correctionnelle du tribunal de Dakar.
Reporté deux fois déjà, le procès du député et maire de Dakar Khalifa Sall doit s’ouvrir ce mardi dans la capitale sénégalaise. Avec sept coaccusés, il est accusé de « détournement de fonds » dans l’affaire dite de la caisse d’avance. Retrouvez ici le déroulé de cette audience, heure par heure.
Le conseil municipal de la capitale sénégalaise a adopté le 15 janvier une délibération permettant à la municipalité de se constituer partie civile dans l’affaire Khalifa Sall. Le maire de Dakar et sept agents municipaux sont notamment poursuivis pour « détournement de deniers publics » et « blanchiment », pour un montant d’1,8 milliard de francs CFA.
Le procès du député et maire de Dakar et de ses coaccusés s’est ouvert ce mercredi dans la capitale sénégalaise. Khalifa Sall est notamment accusé de détournements de deniers publics. Le procès a été renvoyé au 23 janvier, à la demande de la défense.