Série – Ils se lancent dans une nouvelle aventure (1/4). Après s’être rendue incontournable auprès des grands opérateurs et cabinets internationaux, la Guinéenne, ancienne de Herbert Smith Freehills, lance Adna, qui a entre autres vocations l’accompagnement des grands projets d’infrastructures sur le continent.
Ces avocats d’affaires qui ont marqué l’année africaine (3/3). Infrastructures, hydrocarbures, transports, télécoms, immobilier… Les projets d’envergure en Afrique francophone n’ont pas de secret pour les membres du podium du « 100 Legal Powerlist », classement exclusif de Jeune Afrique et Jeune Afrique Business+.
Ces avocats d’affaires qui ont marqué l’année africaine (2/3). Ces avocats se sont distingués en Afrique francophone (énergie, mines, infrastructures) et figurent dans la récente édition du « 100 Legal Powerlist », classement exclusif de Jeune Afrique et Jeune Afrique Business+.
Ces avocats d’affaires qui ont marqué l’année africaine (1/3). Conseils des gouvernements ou du secteur privé dans des procédures d’arbitrage, experts juridiques en montages financiers… Ces avocats se sont distingués en Afrique francophone et figurent dans la récente édition du « 100 Legal Powerlist », classement exclusif de Jeune Afrique et Jeune Afrique Business+.
La pandémie a profondément affecté les pratiques, mais modérément le niveau d’activité. Si les grands projets se sont poursuivis, l’activité des fusions-acquisitions, elle, a souffert.
Du fait de la pandémie et de l’évolution des usages, les entreprises ont revu à la baisse leurs achats de véhicules mais plébiscitent de nouveaux services.
L’électromobilité reste anecdotique sur le continent, même en Afrique du Sud et au Maroc. Toutefois, on note un timide démarrage sur le locatif du deux-roues en ville.
Toujours sous l’emprise des tensions monétaires et du yoyo des matières premières, l’activité des champions du continent a reculé pour la deuxième année consécutive. Les entreprises ouest-africaines s’en sortent plutôt mieux.
« Le casse-tête de la transition énergétique » (2/3). Retards d’investissement, risques naturels, absence de cadre législatif clair… Les obstacles aux ambitions des majors dans les énergies renouvelables sont légion.
« Le casse-tête de la transition énergétique » (1/3). Les majors sont de plus en plus réticentes à se lancer dans de nouveaux projets pétroliers. Mais elles n’abandonnent pas tous les hydrocarbures : le gaz a le vent en poupe.
Sur le continent, Total, Shell ou encore ENI ont mis la priorité sur leurs développements gaziers. Mais leurs projets dans les énergies renouvelables et la compensation carbone restent encore modestes.
Associé au zimbabwéen Seed-Co, dont il est actionnaire, le semencier vient de créer une filiale commune au Ghana pour desservir la sous-région, petit marché appelé à croitre grâce à la recherche.
Porté par des personnalités du monde politique et économique, un think-tank veut proposer des solutions pour améliorer l’accès aux capitaux du continent.
Une fusion des deux géants français ferait du groupe le premier opérateur en Afrique avec un chiffre d’affaires de près de 2 milliards d’euros et une présence dans une douzaine de pays. Mais le risque d’avoir à faire face à une levée de boucliers sur le continent est réel.
Le pays d’Idriss Deby a sollicité le « cadre commun » mis en place entre le Club de Paris et le G20 pour le traitement de la dette. Ces bailleurs vont par ailleurs sans doute prolonger jusqu’à fin 2021 le moratoire dont bénéficient une cinquantaine de pays, pour la plupart africains.
La jeune compagnie nationale sénégalaise, qui a bénéficié de 68 millions d’euros de dotations de l’État en 2020, table sur un demi-million de passagers sur l’année 2021.
13,5 milliards de dollars de pertes de chiffre d’affaires passagers en 2020 et au moins 4,7 milliards de dollars pour le premier semestre 2021. En dépit du rebond des vols domestiques, le secteur aérien africain est lourdement impacté par le Covid-19.
À huit mois des élections, le président zambien, Edgar Lungu, choisit de faire revenir dans le giron de l’État les mines de Mopani, lourdement déficitaires, et cherche déjà un nouvel opérateur pour y réinvestir.
Le milliardaire nigérian s’empare auprès de Shell, Total et ENI de 45% d’un bloc pétrolier en production dans le Delta du Niger. Avec la bénédiction des autorités nigérianes qui veulent développer les compagnies domestiques.
La belle reprise de 2019 des assureurs – dont le classement JA reste dominé par les sud-africains Sanlam, Indequity Group et Old Mutual – va se briser sur la crise sanitaire dans un secteur où les règles prudentielles pénalisent les plus petits acteurs.
Après une année de franc redémarrage et de regain d’optimisme, l’élan des banques africaines – dominées par Standard Bank, FirstRand et National Bank of Egypt – a été stoppé net par la crise sanitaire, augurant de lendemains difficiles pour le secteur bancaire.
Les deux poids lourds de l’eau et des déchets pourraient bientôt ne faire qu’un. Mais du Maroc au Sénégal en passant par l’Algérie, la réunion de leurs opérations africaines ne sera pas une sinécure.
Après quatre années d’essor, l’élan de la Compagnie malienne pour le développement des textiles, acteur clé du coton, est menacé par l’effondrement de la production et l’incertitude politique.
Adopté ce 29 septembre, le plan de relance nécessite 22,4 milliards d’euros de financements d’ici à 2023, avec un fort concours attendu des entreprises. Décryptage en trois points.
Le Maroc a réussi à mettre en place des filières intégrées dans l’automobile et l’aéronautique. Au sud du Sahara, l’industrialisation progresse plus lentement.
L’addition des deux constructeurs ne permettra pas de doubler mécaniquement Renault. Mais le futur groupe pourra s’appuyer sur l’offensive industrielle de Peugeot sur le continent et notamment sur son usine ultra moderne de Kenitra au Maroc.