Si le constructeur canadien est sorti du secteur des avions commerciaux, ses appareils connaissent sur le continent une seconde jeunesse, portés par Airbus et De Havilland.
Très connu pour ses stations-services, l’égyptien Taqa Arabia est surtout le premier distributeur privé de gaz naturel du pays. Il pourrait entrer en Bourse l’an prochain.
La plateforme maritime, qui a déjà bouleversé l’économie de la ville de Tanger, a doublé de taille pour les conteneurs et veut aussi développer ses activités propres.
Après une tentative ratée en 2015, le groupe marocain d’Adil Douiri est parvenu à lever près de 37 millions d’euros en s’introduisant à la Bourse de Casablanca en décembre 2018. Ses résultats sont un bon signal pour l’entreprise comme pour la place marocaine.
En dépit de ses difficultés, le Nigeria recèle d’énormes potentialités, estime Acha Leke, associé senior et président de McKinsey Afrique, qui a conseillé le gouvernement dans sa stratégie économique. Entretien.
Comme la croissance économique, le chiffre d’affaires des 500 premières entreprises du classement Jeune Afrique repart nettement de l’avant. La chute des monnaies et la faiblesse des cours des matières premières sont absorbées. Mais les entreprises ne retrouvent pas encore les sommets passés.
Porté par une croissance plus vigoureuse et par des besoins toujours aussi massifs, le secteur du BTP repart de l’avant sur tout le continent et devrait croître de 5,6 % cette année. Avec la Chine en maître d’œuvre.
Le groupe de logistique français Gefco, très présent le secteur automobile, bénéficie pleinement de la croissance du constructeur au lion sur la zone. Mais pas seulement.
Sur fond de montée en puissance des concurrents asiatiques et d’Ethiopian Airlines, les acteurs en place cherchent à consolider leurs positions. Mais la faiblesse des flux sortant du continent reste un handicap.
À la fin de juillet, la compagnie aérienne publique a annoncé la création d’une société commune – non chiffrée – avec le géant de l’express DHL, première alliance de ce type en Afrique.
En dépit de ventes en berne, les géants du secteur réinvestissent sur le continent, multipliant la création d’unités de production. Mais celles-ci restent modestes et s’appuient souvent sur des équipementiers et des sous-traitants étrangers.
Déjà présente à Accra et à Lagos, la filiale de Volkswagen s’active autour d’un schéma urbain de déplacement par bus au Burkina Faso. Avec le concours de la RATP.
Dans un secteur économique en plein boom dominé par les entreprises étrangères, les capitaines d’industrie du pays amorcent une percée en s’appuyant sur les usines Renault et Peugeot.
Patron de Snop au Maroc, cet ingénieur des Mines passé chez Renault est l’une des chevilles ouvrières de l’industrie automobile, en plein boom dans le royaume.
PSA est en route pour ses premières voitures « Made in Morocco ». Pour sa part, Renault Maroc devrait battre un nouveau record de production cette année. Le gouvernement vise désormais pour ce secteur plus de 17 milliards d’euros de chiffre d’affaires à l’export d’ici à 2025.
Le secteur bénéficie d’un flux continu d’investissements étrangers, à l’image de l’usine Thales inaugurée en septembre. Pour doubler de taille, elle compte plus que jamais sur un vaste projet avec l’avionneur américain.
Le groupe français d’aéronautique et de défense ouvre une usine d’impression 3D à Casablanca. Un investissement très apprécié par les autorités alors que l’industriel ne manque pas de projets dans le royaume.
PDG, hommes d’affaires, Marc Nassif, Tajeddine Bennis et Moulay Hafid Elalamy sont des protagonistes incontournables du secteur automobile marocain. Jeune Afrique a dépeint leur portrait.
En Algérie, une des priorités des autorités reste de favoriser la production locale en ce qui concerne le secteur automobile. Bilan sur les avancées du pays en la matière.
Pour renforcer son rang, le royaume, deuxième exportateur de voitures derrière l’Afrique du Sud, met le turbo afin d’élargir son écosystème de sous-traitants.