Les pouvoirs publics et Orange Guinée se rejettent la responsabilité de la coupure du trafic internet qui perturbe les communications à l’international depuis le 23 octobre.
Retards de livraison, erreurs de produits, déficit de confiance… Le commerce en ligne africain a bientôt dix ans, mais n’est toujours pas parvenu à concevoir un modèle gagnant.
Si la plateforme de services financiers a accumulé les erreurs à l’international, son hégémonie domestique lui offre la latitude de repenser sa stratégie en vue de succès durables hors de ses bases.
Encore peu présent dans le secteur, le royaume wahhabite montre depuis le début de l’année un intérêt croissant tant pour les opérateurs du continent que pour l’infrastructure réseau.
Si les opérateurs comme Orange ou Telkom mettent en avant leurs efforts pour proposer smartphones et data à bas prix aux consommateurs africains, la progression de la couverture réseau dans les zones rurales reste lente.
Conseillère en transformation digitale du Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, Myriam Saïd revient sur les chantiers prioritaires de l’Éthiopie en matière de connectivité et d’entrepreneuriat numérique.
La consolidation de la concurrence et la crise sanitaire poussent la licorne nigériane à relancer son activité de capital-risque à destination des fintechs continentales.
Pour l’économiste en chef d’Afreximbank, l’intégration monétaire et économique est la voie d’urgence à emprunter si l’Afrique veut sortir par le haut de la crise.
Le service de transfert d’argent vient de racheter l’américain Sendwave, actif dans six pays d’Afrique, et se pose en concurrent de plus en plus sérieux des deux géants du secteur.
Après quatre années mouvementées à la tête de l’opérateur sud-africain, le manager va laisser derrière lui un géant plus agile et plus rentable, mais aussi une série de récriminations.
Le régulateur a infligé une lourde astreinte à Free, qui bloque depuis plus d’un an le lancement de l’opérateur virtuel pourtant autorisé à exploiter son réseau.
Après l’annus horribilis qui a suivi son entrée triomphale à la Bourse de New York, la plateforme de e-commerce se redresse. Et envisage l’avenir avec sérénité.
Créés dans les années 1990, les fonds publics dévolus aux télécoms sont dotés de millions de dollars, mais entre errements financiers et lenteurs administratives, leur efficacité reste limitée.
Longtemps négligée par les investisseurs étrangers, la capitale égyptienne a pourtant bâti, sous le radar, un écosystème d’innovation capable d’ébranler l’hégémonie sud-africaine, nigériane et kényane.
Acquis à la fin de 2019, l’opérateur togolais fait figure de test grandeur nature en Afrique de l’Ouest pour le conglomérat malgache, déjà présent au Sénégal via Free.
Poids lourds, outsiders et parfaits inconnus : douze candidats sont lancés dans une bataille inégale pour décrocher l’une des deux licences mises en vente par Addis-Abeba.
Suppression des commissions et des frais sur les transactions… Les mesures adoptées pour répondre à la pandémie représentent un « sacrifice » de plusieurs milliards de dollars.
Toujours intéressé par l’Éthiopie, Stéphane Richard envisage également une acquisition stratégique dans les grandes économies du continent. Quitte à opérer un rapprochement avec MTN ?
Accusé de soutien au terrorisme par des familles de soldats américains, l’opérateur sud-africain est également ciblé pour son emprise sur le marché au Ghana.