Un coup de pouce de 100 millions de dollars provenant de la banque indienne d’import-export doit permettre au Nigeria de couvrir 70 % de son territoire en internet haut-débit d’ici à 2021.
L’Afrique souffre d’une pénurie de compétences locales sur les questions de sécurité informatique. Des formations existent pourtant, mais leur communication est insuffisante.
Sur le continent, la criminalité numérique n’épargne ni les entreprises ni les particuliers. Les géants de la téléphonie mobile et de l’internet l’ont bien compris, qui ont fait de la protection des données une activité à part entière.
Le mastodonte de la relation client créé en février par le groupe allemand Bertelsmann et le marocain Saham a investi 2 millions d’euros pour agencer et équiper le bâtiment de six étages qui devrait abriter d’ici la fin de l’année les activités de quelque 300 salariés, au centre de la capitale togolaise.
Le géant de Mountain View vient d’annoncer l’installation d’un nouveau câble sous-marin baptisé « Equiano » et qui reliera Lisbonne au Cap. La première phase du projet doit être concrétisée d’ici à 2021.
Le réseau social américain a annoncé, le 18 juin, le lancement d’une cryptomonnaie baptisée Libra. Mise en circulation en 2020, elle pourrait notamment bousculer les acteurs traditionnels du transfert d’argent.
Si elles sont de plus en plus présentes dans la R&D et les nouvelles technologies sur le continent, les femmes sont encore peu nombreuses aux postes de direction. Pourtant, la mixité est bénéfique aux entreprises et institutions scientifiques.
En décidant de fermer définitivement son campus de Casablanca qu’elle gérait avec le groupe HEM, récemment racheté par LCI Éducation, l’université Paris-Dauphine opère un changement radical de stratégie au Maroc.
L’institution annonce vouloir doubler ses investissements dans le capital humain entre 2021 et 2023 à travers un fonds pour l’éducation, la santé et la protection sociale.
Face à l’implantation d’établissements français sur le continent et l’offensive des investisseurs s’esquisse peu à peu un modèle d’école de commerce purement africain. Découvrez notre analyse et notre classement 2019.
Découvrez le classement officiel 2019 des écoles de commerce de Jeune Afrique. Retrouvez en détail les atouts et points faibles des meilleures écoles du continent selon quatre critères d’excellence.
Qu’ils soient 10 ou 1 000 les anciens élèves sont désormais un levier de développement important pour les écoles et un critère à ne pas négliger côté candidats pour le choix d’une école.
Conseils aux futurs étudiants, qualité pédagogique et liens entre entreprises et écoles, l’expert en RH et professeur à l’Essec revient sur les mutations d’un secteur de plus en plus privatisé en Afrique et ailleurs.
Auteure du rapport « Women Matter », Sandra Sancier-Sultan, directrice associée senior chez McKinsey, a étudié les effets positifs de la présence des femmes dans les conseils d’administration.
Le magazine américain Fast Company a dévoilé sa liste annuelle des entreprises qui se distinguent par leur créativité. L’université panafricaine apparaît à la première place du classement pour le continent.
Sous son air flegmatique, ce Sénégalais de 33 ans est en fait un grand enthousiaste. Patient et très à l’écoute quand il s’agit de parler de sa discipline, l’intelligence artificielle (IA), il n’en reste pas moins extrêmement pressant lorsqu’il en appelle à un réveil panafricain de la recherche scientifique.
Gouvernance, transformation des entreprises publiques, cybersécurité… Jean-Philippe Duval, associé et responsable des activités de conseil en Afrique francophone nommé cette année, détaille sa stratégie.
L’ancien vice-président de l’université Mundiapolis met son expérience au service du groupe toulousain Toulouse business school. Objectif : capter les talents d’Afrique subsaharienne.
À la tête de l’Aims, l’Institut africain des sciences mathématiques devenu une vitrine de la recherche panafricaine, ce Béninois, président du Next Einstein Forum, s’est associé avec Google et Facebook pour se lancer dans l’intelligence artificielle.
Enseignement, recherche, publications… Si les moyens manquent encore, l’Afrique n’a jamais été aussi présente sur la scène scientifique mondiale, et de nombreux talents émergent. Une certitude : l’effort doit être collectif et panafricain.
Avant sa nomination comme DG du bureau régional de développement et de prestation de services pour l’Afrique australe, cet Indien, docteur de l’université George-Washington, aux États-Unis, était directeur de la stratégie et des politiques opérationnelles depuis 2012. Auparavant, il avait fait l’essentiel de sa carrière à la Banque mondiale.
Cette Camerounaise experte de la finance et du développement a été nommée directrice générale du bureau régional de développement et de prestation de services pour l’Afrique de l’Ouest. Diplômée en économie appliquée et en gestion des universités Paris-Dauphine et Panthéon-Sorbonne, elle a intégré la banque en 1991.
Diplômé de l’université de Delhi et de l’Indian Institute of Management d’Ahmedabad, cet Indien de 59 ans rejoint le comité d’investissement du fonds Africa50. PDG d’Adani Transmissions, il a occupé divers postes de direction quatre ans durant chez Tata Power. Il siège également au conseil d’administration de cinq sociétés.
À 52 ans, cette Française diplômée de l’ESC Rouen et de l’université de Chicago Booth présidera le conseil d’administration du fournisseur d’électricité. Déjà présidente non exécutive de Voltalia depuis 2014, elle est également administratrice d’Aperam et a dirigé Castrol Lubrifiants Industriel de 2007 à 2009 et Eoxis de 2010 à 2013.
Avant d’arriver chez GE en 2003, ce Français est passé par BCEN-Eurobank Paris et au sein de la Banque arabe et internationale d’investissement. Diplômé de la Sorbonne, il vient d’être nommé directeur général de la région Afrique, poste qu’il assume en plus de sa position de PDG de GE Healthcare.
Ingénieur mécanique formé à l’université fédérale de Rio de Janeiro, ce Brésilien vient d’être nommé à la tête de la zone Afrique chez le géant brassicole. Il remplace ainsi Ricardo Tadeu, nommé directeur des ventes du groupe. Ex-Pepsico, il a intégré la filiale Ambev en 2004 avant de poursuivre chez Anheuser-Busch InBev en 2013.
Cet ingénieur marocain des Ponts et Chaussées connaît bien la filiale du holding royal Al Mada puisqu’il a été à sa tête entre 2001 et 2003 après six ans à différents postes de direction. Nommé président du conseil d’administration, il dirige en parallèle son propre cabinet de conseil dans l’industrie et les infrastructures.