L’internet mobile, principal canal de communication du pays, est coupé depuis ce 31 juillet. Mais les Sénégalais peuvent encore se connecter et transférer de l’argent. Voici comment.
Une association de consommateurs burkinabè appelle au boycott des télécoms à partir du 8 août pour dénoncer les prix des communications. C’est le deuxième appel de ce type depuis avril.
Le conglomérat malgache dirigé par Hassanein Hiridje a signé un accord en vue d’acquérir une participation supplémentaire de 40 % du deuxième opérateur du pays pour en détenir finalement 80 %.
Entre baisse du volume des transactions et déclin de la valeur des financements, les start-up africaines peinent à attirer les bailleurs et enchaînent les vagues de licenciements.
Le service américain de connexion Internet par satellite Starlink vient de nouer un partenariat avec Africa Mobile Networks, spécialiste des tours télécoms en zone rurale.
Orange, MTN et Moov constatent depuis plusieurs trimestres une stagnation, voire une baisse des revenus globaux de leur secteur alors que la Côte d’Ivoire connaît une croissance de PIB. Comment expliquer cette situation ?
Aux commandes depuis 2020 d’un groupe qu’il connaît sur le bout des doigts pour en avoir piloté les finances pendant trois ans et demi, Ralph Mupita veut transformer l’opérateur en champion technologique grâce au soutien de proches avisés.
Nouvelle patronne du mobile money chez Orange, cette dirigeante au carnet d’adresses bien fourni a pour mission de transformer Orange Money en plateforme multiservices.
Bianlian, Karakurt, Medusa… De nombreux groupes de hackers ont revendiqué des raids contre des entreprises privées comme BGFI Bank et Bank of Africa, ou des institutions publiques à l’instar du gouvernement sénégalais. Pour quelles raisons leurs attaques se multiplient-elles à travers le continent ?
Voilà cinq ans que la société au pingouin est venue bouleverser les équilibres du mobile money en Afrique de l’Ouest. L’occasion pour sa directrice générale de faire un point sur les ambitions de la start-up aux 2 000 employés.
Les PDG et hauts dirigeants aussi se font licencier. Une étude s’est intéressée à ceux qui ont su se relever de cet échec. Voici comment ils y sont parvenus.
Il y a un an, une levée de boucliers accueillait l’instauration d’une taxe sur les transactions financières. Comment le marché du mobile money a-t-il évolué depuis ?
Sonatel, Free, mais aussi Wave… Les dégradations lors des manifestations après la condamnation d’Ousmane Sonko et la coupure internet décidée par l’exécutif de Macky Sall ont eu un impact financier important.
L’un est le dirigeant d’Axian Group, un conglomérat qui intervient dans de très nombreux domaines. L’autre est chargée de l’Afrique pour Global 500, l’un des principaux fonds de capital-risque de la Silicon Valley. Ils livrent à Jeune Afrique leur vision des grands enjeux du secteur de la tech sur le continent.
Depuis vingt ans, Strive Masiyiwa bâtit un empire du numérique qui n’a rien à envier aux géants américains ou chinois du web. Il doit désormais trouver comment monétiser les milliards de données captées par les différentes filiales de son groupe.
Plutôt que d’ouvrir dans de nouveaux pays, la plateforme panafricaine d’e-commerce table désormais sur des villes de 20 000 à 150 000 habitants. Une stratégie de rupture qui doit encore convaincre Wall Street, où la start-up est cotée.
En cours depuis le 26 mai, la cyberattaque perpétrée par un groupe de hackers bangladais peut avoir un impact concret sur le travail quotidien de l’administration.
Le régulateur éthiopien vise juin pour l’ouverture des candidatures à une deuxième licence d’opérateur privé et la cession d’une partie d’Ethio Telecom. Dans ce contexte porteur, les émissaires des principaux opérateurs actifs dans la région se succèdent à Addis-Abeba. JA lève le voile sur ces tractations.
Le Conseil marocain de la concurrence pointe du doigt le recours aux frais supplémentaires appliqués par les opérateurs. Une pratique qui illustre une certaine réticence à développer la numérisation des achats.
L’organisation publique-privée imaginée par le président rwandais fête ses dix ans au Zimbabwe, dans le cadre de son événement Transform Africa Summit. L’occasion de faire le point sur ses projets, qui ne se concrétisent pas toujours.
Fintech, e-commerce, healthtech… Dans quels secteurs les start-up africaines les plus prometteuses se distinguent-elles ? Quelles sont celles qui parviennent le mieux à séduire les investisseurs ? Les résultats de notre enquête exclusive en infographies.
Notre enquête, menée auprès d’une trentaine d’investisseurs, permet de déterminer assez précisément les caractéristiques des jeunes pousses du continent qui attirent le plus de fonds.
Secteur traditionnel des start-up africaines, le e-commerce figure en bonne place parmi nos 20 futurs champions de la tech, avec cinq représentants. Particularité de notre sélection : la majorité de ces jeunes pousses s’adresse au marché des professionnels.
Parmi nos 20 futurs champions de la tech, les start-up de la fintech se taillent la part du lion avec six représentants. Néobanque, solutions de gestion d’entreprises pour petits marchands, plateforme de transfert d’argent multicanal ou outils simplifiant le recouvrement… Voici leurs portraits.
La surprise de notre sélection des 20 futurs champions de la tech provient du secteur des services. Considéré comme une « niche », celui-ci a su tirer son épingle du jeu avec quatre start-up innovantes pour la plupart venues du Nigeria.
Le secteur du transport et de la logistique, représenté par deux jeunes pousses dans notre sélection des 20 start-up les plus prometteuses d’Afrique, demeure l’un des plus porteurs et les plus transformateurs du continent. Présentation.
Partenaire d’un des fonds les plus dynamiques du continent, l’investisseur japonais Ryosuke Yamawaki décrit sa méthode pour repérer les futurs champions de la tech africaine.