Après la RDC, le constructeur américain dirigé par Robert Mullins poursuit son expansion en Côte d’Ivoire avec l’installation d’un centre de données près d’Abidjan pour servir tout type de client dans la zone UEMOA dès 2023.
En Suisse, l’enseignement professionnel est traditionnellement une filière valorisée que beaucoup de jeunes choisissent et qui ne ferme pas la porte à des études généralistes. Un modèle jugé adapté à de nombreux pays africains.
Le récent rachat du marocain WaystoCap par l’égyptien MaxAB crée un champion régional du e-commerce et atteste une maturité certaine des écosystèmes africains.
Tourné dès ses études vers l’informatique, le fils du fondateur de NSIA prend à 42 ans son indépendance en transformant NSIA Technologies en holding tech aux ambitions panafricaines.
Désormais populaire, la start-up américano-sénégalaise qui défraie la chronique depuis une levée de fonds record de 200 millions de dollars n’a pas surgi de nulle part. Voici son histoire.
Peu surveillées par les investisseurs, les jeunes pousses du droit ont pourtant la capacité de simplifier le travail des avocats… et des services juridiques des grandes entreprises.
Un an après la prise de poste de ce manager connu pour parler le langage des investisseurs, le leader africain des télécoms est plébiscité sur les marchés. Explications.
La dirigeante de la société AppsTech, figure de la scène tech en Afrique francophone et dans la diaspora, a été placée en garde à vue du 10 au 13 août.
Tandis que MTN, Airtel et Vodacom s’engagent sur de nouveaux terrains, le groupe français poursuit une stratégie basée sur les télécoms traditionnelles. Un choix dangereux ?
À la faveur de la relative stabilité politique établie à Kinshasa, des opérateurs continentaux, comme Benya Capital, ou internationaux, tel Facebook, se lancent dans la course au câblage du deuxième plus grand pays d’Afrique.
Associé à Ecobank et Mastercard, le deuxième opérateur télécoms du Sénégal propose désormais une carte de crédit. Une façon de prévenir l’arrivée prochaine d’Orange Bank.
Alors que le marché des datacenters accélère sur le continent, l’enjeu pour les investisseurs du secteur est de convaincre le maximum d’acteurs économiques des bienfaits de la dématérialisation.
Des délégations ministérielles africaines ont participé à cette grand-messe de l’industrie des télécoms, malgré une audience réduite et moins d’acteurs privés, Covid-19 oblige. Reportage.
Dans des secteurs de pointe, des jeunes entreprises africaines gagnent du galon et se font repérer par des organismes de référence comme le Word Economic Forum.
Du Maroc au Cameroun en passant par le Bénin, portraits de cinq pionniers africains qui révolutionnent le secteur de la e-santé et captent déjà l’attention des investisseurs.
Si 2020 a été marqué du sceau de l’attentisme et des petits investissements, 2021 semble déjà réunir les conditions d’un grand cru pour la tech africaine.
Créée par deux Américains pour baisser les frais des transactions en mobile money, la start-up est sous le feu des projecteurs depuis qu’Orange tente de freiner son développement au Sénégal.
En Éthiopie, la sélection d’un consortium soutenu par des investisseurs américains a donné lieu à des interprétations bien contradictoires. Comment démêler le vrai du faux ?
Renfloué et doté d’un plan stratégique clair, l’opérateur du milliardaire Sunil Mittal confirme ses bons résultats et ses ambitions, notamment dans le domaine des services financiers.
L’opérateur historique fait l’objet de critiques dans les plus hautes sphères du pouvoir à Addis-Abeba. Encourageant ainsi le gouvernement à le privatiser partiellement au plus vite.
L’opérateur sud-africain pourrait être de nouveau candidat à l’obtention d’une licence en Éthiopie lors d’une seconde attribution qui interviendra dans quelques mois.
Dynamique, le jeune ministre algérien a posé les conditions préalables à la création de start-up. Mais pour certains acteurs du secteur, les vrais problèmes demeurent.
Critiqué sur sa gestion de la Délégation à l’entrepreneuriat rapide, le jeune ministre creuse son sillon dans le financement de start-up, quitte à déplaire au sein même du gouvernement.
Avec 50 millions d’euros à placer rapidement, l’investisseur rattaché au groupe de télécoms veut accélérer notamment sur l’amorçage. Grégoire de Padirac, co-responsable d’Orange Ventures à Dakar, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Huit mois après son arrivée à la tête du géant des télécoms, le Zimbabwéen dévoile en exclusivité pour JA les détails de la stratégie qu’il souhaite mettre en œuvre jusqu’en 2025.