La coopérative spécialisée dans la production de produits laitiers va s’implanter au Nigeria et au Sénégal, par le biais de partenariats locaux. Son objectif est d’atteindre un chiffre d’affaires de 460 millions d’euros d’ici à 2020.
Outre la commémoration du 70ème anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale, la visite officielle de Joseph Kabila à Pékin est l’occasion de discuter des liens économiques sino-congolais en constante progression.
Alger compte augmenter sa production de gaz de 13 % d’ici à quatre ans, en dépit de la conjecture défavorable dans laquelle se trouve l’industrie des hydrocarbures.
L’institution internationale, qui a accepté de prêter près d’un milliard de dollars à Accra, appelle le pays d’Afrique de l’Ouest à poursuivre ses efforts afin de contrôler les dépenses publiques et l’inflation.
Alors que l’espace régional maghrébin a la plus faible intégration économique au monde, des échéances viennent d’être annoncées pour y remédier, avec notamment la conclusion des négociations sur le libre échange et la création de la Banque maghrébine d’investissement et de commerce extérieur.
Le n°1 algérien de la production de boissons à base de fruits va signer un protocole d’accord avec les autorités béninoises en vue d’exploiter des usines dans la région de Cotonou.
Utiliser la rente pétrolière pour encourager les chômeurs à créer leur micro-entreprise. Telle est la stratégie des autorités algériennes, qui subventionnent les porteurs de projets.
Le groupe laitier s’apprête à introduire 15 % de son capital sur la place locale dans un contexte économique morose. Qu’importe : selon ses dirigeants, deux ans après sa restructuration, c’est le bon moment.
L’Afrique détient le plus mauvais bilan mondial en matière de sécurité routière. Depuis quelques années, les États subsahariens tentent de faire évoluer la situation en imposant par exemple des contrôles techniques obligatoires. Autant d’opportunités pour les spécialistes mondiaux du secteur.
Selon de nombreux fonds internationaux, le continent serait le marché émergent le plus intéressant au monde. Mais attention au risque de bulle spéculative…
Le président Abdelaziz Bouteflika a procédé le 5 mai à un remaniement partiel du gouvernement dirigé par Abdelmalek Sellal. Un noyau dur au sein de la nouvelle équipe ministérielle devra s’atteler rapidement à trouver des réponses aux défis nombreux et pressants de l’économie algérienne. En voici les acteurs majeurs.
Le capital-investisseur panafricain Tuninvest-AfricInvest entre au capital de Bridge Group West Africa. Ce holding financier basé à Abidjan et détenu par Teyliom Group contrôle la banque ivoirienne Bridge Bank et dispose d’une participation minoritaire dans une banque sénégalaise.
La PME marocaine Gemadec vient de signer un contrat avec la Poste du Gabon pour créer un centre national de courrier « hybride » dans le pays. Le même dispositif est actuellement en cours d’élaboration en Cote d’Ivoire.
Réuni à Rabat (Maroc), du 4 au 6 mars, le Comité intergouvernemental d’experts de la Commission économique pour l’Afrique du Nord de l’ONU a planché sur le thème de « l’industrialisation pour un développement durable et inclusif » dans la région. Parmi les recommandations envisagées : un plus grand rôle pour le secteur privé et un push en faveur du marché commun.
L’or bleu, c’est encore mieux quand on peut le boire. Ces trois patrons l’ont bien compris. Spécialisées dans les eaux minérales, leurs sociétés sont parmi les leaders dans leurs pays.
Il était temps ! Après deux années de retard, l’unité d’El-Maqtaa en Algérie, la plus grande usine de dessalement au monde, devrait bientôt entrer en service. Une bonne nouvelle pour Oran, qui verra enfin ses besoins en eau potable intégralement comblés.
L’interdiction d’exporter tous les minerais bruts, afin d’en favoriser la transformation sur place, devait entrer en vigueur le 12 janvier en Indonésire. Elle a finalement été très assouplie sous la pression des compagnies privées.
À la tête de multinationales ou de PME, ces 25 pionniers sont des précurseurs de l’industrialisation des filières agricoles africaines. Leur credo : transformer sur place les aliments produits localement.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… « Jeune Afrique » dresse la liste des 50 personnalités les plus influentes du pays. Parmi eux, Anas Sefrioui, 56 ans, PDG d’Addoha.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… « Jeune Afrique » dresse la liste des 50 personnalités les plus influentes du pays. Parmi eux, Mostafa Terrab, 58 ans, PDG d’OCP.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… « Jeune Afrique » dresse la liste des 50 personnalités les plus influentes du pays. Parmi eux, Mohamed El Kettani, 55 ans, PDG d’Attijariwafa Bank.
Spécialisé dans la valorisation des oléagineux, le groupe français Sofiprotéol souhaite développer les productions des pays maghrébins et ouest-africains. Objectif : réduire leur dépendance aux importations.
Fort de trois lignes de production flambant neuves, le groupe algérien Benamor s’apprête à mettre sur le marché 460 000 baguettes par jour. Pour les écouler, il songe à un système de franchise.
Avec des activités en constante augmentation, le port de Béjaïa est devenu le deuxième d’Algérie pour le trafic de conteneurs. L’ennui, c’est que la logistique ne suit pas.
Fini le règne des entreprises publiques en Algérie. C’est en tout cas la conviction de Amara Benyounès, ministre du Développement productif et de la Promotion de l’investissement. Dans une interview accordée à « Jeune Afrique », le ministre algérien affirme qu’il est urgent de favoriser l’entrepreneuriat privé dans le pays.
Agroalimentaire, électronique, électroménager… À Akbou et à Bordj Bou Arreridj se sont développés des pôles industriels particulièrement dynamiques. Retour sur la saga d’Ifri, Soummam, Condor et autres stars locales devenues des fleurons nationaux.
Opération réussie pour Jorf Lasfar Energy Company (JLEC). Les actions de la compagnie d’électricité marocaine, cotées pour la première fois à la bourse de Casablanca le mardi 24 décembre, ont été sursouscrites près de 7 fois. Cette opération permettra-t-elle à la place marocaine de sortir de sa torpeur ?
Sortir de l’autarcie, tel est le credo de Sahbi Othmani, le directeur général de NCA-Rouiba, leader national de la fabrication de boissons fruitées. Sa stratégie : développer les exportations.
Dans la zone industrielle d’Aïn Romana, les usines de SIM tournent vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour produire pâtes alimentaires et semoules. Reportage au coeur d’un empire en expansion.
L’Institut de prospective économique du monde méditerranéen (Ipemed) a organisé le premier forum EMCC (Euro-Mediterranean Competitiveness Confederation), à Paris le 5 décembre. Au menu des discussions : la promotion des partenariats gagnant-gagnant entre les deux rives de la Méditerranée et les obstacles à leur essor.