Solvabilité en berne, créances douteuses, effondrement boursier… Deux ans et demi après la révolution, le secteur bancaire tunisien peine à se relever. Et notamment les établissements publics.
Jugée trop chère et manquant de liquidité, la Bourse de Casablanca n’est plus considérée comme un « marché émergent » par le fournisseur d’indices MSCI. Un déclassement qui pourrait, paradoxalement, lui profiter.
Après d’âpres négociations entre l’État et le géant de la sidérurgie Arcelor Mittal, un accord devrait intervenir courant juillet. L’Algérie passera à 51 % du capital contre 30 % actuellement.
Leader en Algérie, le fabricant de groupes électrogènes et de centrales électriques veut se positionner sur le reste du continent. Avec l’appui de son nouvel actionnaire, Tuninvest.
Ezzedine Khoja, spécialiste de la finance islamique, annonce un ambitieux plan de développement pour relancer l’établissement fondé par Sakhr el-Materi.
L’Algérie est en retard par rapport à ses voisins en matière de commerce moderne. Conscients du potentiel, les groupes étrangers et locaux multiplient les projets.
Mustapha Bakkoury, président du directoire de l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (Masen), est chargé depuis fin 2009 de piloter le Plan solaire national
Expert en finance, Lies Kerrar s’apprête à lancer la première société d’intermédiation indépendante d’Algérie. Il compte bien contribuer au décollage de la Place, plutôt moribonde.
Presque inexistant il y a vingt ans, le secteur privé explose malgré les pesanteurs administratives. Et les patrons demandent encore un effort d’assouplissement au gouvernement.
En marge du premier Forum de partenariat franco-algérien organisé à Alger par Ubifrance, le ministre algérien de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement, Chérif Rahmani, a répondu à Jeune Afrique.
La ministre française du Commerce extérieur, Nicole Bricq, a prononcé à Alger le 28 mai le discours d’ouverture du premier Forum de partenariat franco-algérien organisé par Ubifrance. Pour Jeune Afrique, elle fait un point sur l’évolution des relations commerciales entre les deux pays.
Le premier Forum France-Algérie organisé par Ubifrance se déroule à l’hôtel El Aurassi d’Alger les 27 et 28 mai et 29 mai. Il réunit une centaine d’entreprises des deux pays, dans le but de nouer des partenariats et de renforcer la position de premier partenaire commercial de la France avec son voisin du sud de la Méditerranée.
Opérationnelle depuis plus de trois mois, la structure se consacre essentiellement à la gestion des risques financiers de l’Office chérifien des phosphates.
Le premier Forum de partenariat franco-algérien, organisé par Ubifrance à l’hôtel El Aurassi d’Alger du 27 au 29 mai, réunit une centaine d’entreprises des deux pays. Objectif : nouer des partenariats et renforcer le partenariat commercial entre la France et l’Algérie.
Le groupe familial figure parmi les plus grandes entreprises privées algériennes. Laïd Benamor, actuel PDG du groupe, livre à Jeune Afrique son témoignage sur les conditions du secteur privé algérien.
Après une année 2012 atone et malgré un contexte politico-économique difficile, les introductions se multiplient à la BVMT. Principale cause de cette ruée : l’assèchement des crédits bancaires.
Le fondateur de Net-Skills, une start-up de services informatiques et télécoms, est aussi vice-président du Forum des chefs d’entreprise. Malgré un contexte difficile pour les PME, il envisage une croissance de 30 % en 2013.
Tout nouveau ministre de l’Industrie et des Technologies, Medhi Jomaa a profité d’un passage à Paris pour exposer ses chantiers prioritaires : phosphates, développement régional, énergie et sous-traitance industrielle.
Le savoir-faire reconnu des groupes marocains dans la construction de logements sociaux crée de nouvelles opportunités pour les deux leaders chérifiens en Afrique subsaharienne où les besoins sont énormes.
Afin de faire face à la pénurie de logements, les autorités multiplient les appels d’offres auprès d’entreprises étrangères. Mais les groupes tricolores ne se bousculent pas au portillon.
Les partenariats industriels se multiplient entre groupes internationaux – Renault, Massey Ferguson, Liebherr – et entreprises publiques. Aux PME de se montrer à la hauteur pour en tirer parti.
La Société financière internationale (SFI/IFC) vient d’annoncer un investissement de 7 millions de dollars dans la grande école marocaine HEM (Hautes études de management), afin de l’accompagner dans son développement à travers le royaume chérifien.
La firme d’ingénierie canadienne SNC-Lavalin ne pourra pas soumissionner sur des projets de construction de la Banque mondiale pour une période de dix ans. Cette décision intervient alors que deux anciens cadres ont été accusés de corruption d’agents étrangers au Bangladesh.
La crise internationale et le manque de réformes structurelles ont affaibli les fondamentaux macroéconomiques du royaume chérifien. Le 17 avril, Le Haut commissaire au plan, Ahmed Lahlimi Alami a livré sa contribution au débat qui agite actuellement le pays. Morceaux choisis.
Le volontarisme des autorités pour faire du royaume un acteur d’envergure régionale et une destination privilégiée pour les investisseurs est manifeste. Pourtant, des déséquilibres demeurent.
Pour compenser l’érosion de ses ventes en Europe, la marque au losange se tourne vers de nouveaux marchés. Jean-Christophe Kugler, directeur des opérations de la région Euromed-Afrique, conduit cette stratégie.