Le Conseil de sécurité de l’ONU a consacré plusieurs réunions ce mois-ci à la question du Sahara. Une question qu’Alger entretient à dessein pour ne pas avoir à rendre compte au peuple algérien du désastre qu’aura été sa politique en ce domaine.
Officiellement nommé ce 6 octobre, le nouvel envoyé spécial des Nations unies au Sahara ne réussira dans sa mission que si le Conseil de sécurité se prononce en faveur de la solution proposée par le Maroc.