Depuis quelques années, le débat sur le nombre de mandats effectués par les chefs d’État agite l’opinion publique africaine. Et nombreux sont ceux qui établissent une corrélation entre la limitation de la durée au pouvoir et la gouvernance idéale. À tort, selon Rachid Ndiaye.
Plutôt courants lorsque les contre-pouvoirs sont trop faibles pour défendre les institutions, les putschs ne sont pas une exception africaine. Mais sur le continent, les condamnations à géométrie variable de Paris suscitent quelques interrogations.