Le Togo tente de se relever d’une décennie de crise. La croissance et les investisseurs sont de retour. Reste à améliorer le climat des affaires et à renforcer les infrastructures pour pérenniser la reprise.
À la veille de l’arrivée de son nouveau directeur général, le géant panafricain se réorganise. Ecobank adopte une structure binaire distinguant la banque de proximité et une nouvelle entité, Corporate & Investment Bank.
En 2011, le groupe sud-africain avait commencé à recentrer ses activités sur le continent. Une stratégie qui a dopé ses profits. Reste à donner un coup de pouce pour valoriser l’action.
Le gynécologue obstétricien a décroché un investissement d’Aureos Capital pour financer la modernisation de sa clinique et rayonner sur l’Afrique de l’Ouest.
En s’alliant avec l’ivoirien Banque Atlantique, BCP se renforce en Afrique de l’Ouest. Il y rejoint deux autres groupes chérifiens, Attijariwafa Bank et BMCE Bank, déjà bien implantés au sud du Sahara.
Avec trois sociétés cotées et une succession d’émissions obligataires prévues cette année, la place financière camerounaise est bien décidée à s’imposer face à sa rivale gabonaise.
La Franco-Ivoirienne Lydie Boka a créé StrategiCo, une agence spécialisée dans l’évaluation du risque en Afrique. Sa particularité : prendre en compte des données politiques et sociales.
Le groupe camerounais, deuxième opérateur du secteur en Afrique centrale, se développe désormais dans l’ouest du continent. Après le Liberia, il s’apprête à ouvrir une filiale en Guinée.
De consultations en rencontres, l’institution panafricaine affine sa stratégie pour les dix ans à venir. L’occasion pour les États bénéficiaires de critiquer son action.
Grâce au retour au premier plan de la Côte d’Ivoire, l’Union économique et monétaire ouest-africaine s’affiche comme la sous-région la plus dynamique de toute l’Afrique.
Les télécoms, les infrastructures, la santé et la finance sont autant de domaines dans lesquels le fonds souverain malaisien Khazanah Nasional pourrait intervenir.
Créer davantage de valeur ajoutée sur le sol africain. Voeu pieux ou réel objectif ? Grâce à une croissance soutenue, les pays subsahariens bénéficient d’un contexte favorable à l’industrialisation et à la transformation locale.
Lors des 47es assemblées générales de la Banque africaine de développement, en Tanzanie, la Côte d’Ivoire a fait pression pour que l’organisme retrouve son siège initial.
Le numéro deux marocain, Banque centrale populaire, devrait conclure ce 7 juin l’acquisition d’environ la moitié du capital du groupe Banque Atlantique.
Le groupe panafricain rapproche deux de ses trois branches d’activité : la banque d’investissement et la banque de l’entreprise. Les fonctions de plusieurs cadres dirigeants ont été redéfinies.
Interrogé à l’occasion des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement, le Sénégalais Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique, revient sur quelques pistes pour une croissance plus durable sur le continent.
Basé à Nairobi, le fonds African Guarantee Fund est doté d’un capital de 50 millions de dollars. Objectif : aider les banques à satisfaire les besoins d’investissements des PME africaines.
Profitant de la croissance soutenue de la zone subsaharienne, les établissements bancaires africains continuent à afficher de bons résultats. Reste à améliorer leur gestion du risque pour se hisser définitivement au niveau de leurs concurrents internationaux.
Confrontés à la crise européenne et à une concurrence croissante en Afrique, les groupes français se désengagent des coûteuses activités de négoce. Leur nouvelle cible : les particuliers.
Les petites et moyennes entreprises constituent l’essentiel du tissu économique africain. Pourtant, leurs difficultés pour se développer subsistent. Autopsie d’une situation qui s’améliore timidement, notamment grâce au capital-investissement.
Présent au Forum économique Uemoa-Asie, qui se tient les 21 et 22 mai à Lomé, au Togo, Paul-Harry Aithnard, le directeur de la recherche du groupe Ecobank, explique les conditions pour rendre encore plus attractive cette zone qui regroupe les huit pays francophones d’Afrique de l’Ouest ayant le franc CFA en commun.
Présent au Forum économique Uemoa-Asie, le directeur de la recherche du groupe Ecobank explique les conditions pour rendre l’UEMOA encore plus attractive.
Rigueur budgétaire, contrôle, transparence, prudence… Depuis le scandale qui l’a ébranlée en 2009, la Banque des États de l’Afrique centrale a revu son code de conduite. Cela n’empêche pas l’Afrique centrale de connaître une nouvelle affaire de mauvaise gouvernance.
Rigueur budgétaire, contrôle, transparence, prudence… Depuis le scandale qui l’a ébranlée en 2009, la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) a revu son code de conduite. Cela n’empêche pas l’Afrique centrale de connaître une nouvelle affaire de mauvaise gouvernance.