Deuxième filiale la plus importante (pour son bilan) du groupe bancaire après celle du Nigeria, Ecobank Côte d’Ivoire démarrera l’année 2019 avec un nouveau directeur général.
Protection des données personnelles, souveraineté numérique, fiscalité, lutte contre les fake news… Quelles stratégies le continent doit-il mettre en place pour encadrer l’offensive des Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft, etc. ?
Manipulation de l’information, appel au meurtre, incitation à la haine… Comment vaincre l’épidémie qui ravage plateformes et réseaux sociaux ? Facebook et les autres jurent qu’ils font l’impossible. Mais est-on obligé de les croire ?
Le nouveau président du Liberia doit faire face à de nombreux défis : changer l’image du pays, marquée par la guerre civile des années 1990 et la crise sanitaire et humanitaire d’Ebola, redresser l’économie et « aider les populations ». Mais avant tout, il lui faut répondre à l’urgence budgétaire : il faut 61 millions d’euros dans les trois mois. Rencontre.
Avant de prendre les rênes d’Oragroup, en juillet 2016, Binta Touré Ndoye a occupé pendant un an le poste de DG adjointe, entamant un travail de renforcement des fondamentaux et d’harmonisation des procédures. Des efforts payants. Le produit net bancaire de la banque a pour la première fois dépassé la barre symbolique des 100 milliards de F CFA (environ 152 millions d’euros) à la fin de 2016. Ancienne dirigeante d’Ecobank, la Malienne répond aux questions de JA.
Le Guptagate, scandale politico-économique qui éclabousse KPMG en Afrique du Sud, relance le débat sur certaines pratiques, jugées douteuses, des Big Four.
«Je ne suis pas une wonder woman, juste une professionnelle », a déclaré Nhlamu Dlomu quelques jours après sa nomination à la tête de la filiale sud-africaine du géant britannique de l’audit. Pourtant, il lui faudra être bien plus que professionnelle pour remplir la mission presque impossible qui l’attend dans sa nouvelle fonction.
L’aide du FMI ne suffira pas à relancer les économies de la zone. Nouvelles sources de financement, recettes fiscales, diversification… JA fait le tour des réformes à engager d’urgence pour renouer avec la croissance.
La Société nationale des hydrocarbures (SNH) a décidé d’explorer en profondeur le sous-sol camerounais. Depuis quelques temps, l’entreprise s’est lancée dans l’exploitation et la production de gaz.
En prenant le contrôle de Diamond Bank SA, le fondateur du groupe ivoirien, Jean Kacou Diagou, devrait franchir une étape décisive dans sa volonté de constituer un réseau de banques aussi étendu que celui de son pôle assurances.
«Nous n’investissons plus dans la téléphonie. » Ces propos, tirés d’une interview publiée fin 2013 par notre confrère Afrique Méditerranée Business, sont de Yérim Sow.
Au moment où Millicom annonçait qu’il ne cédait plus sa filiale à Wari mais à un nouveau consortium, l’État a donné son aval au premier accord. Au milieu de cette grande confusion, JA tente d’y voir plus clair.
Ils sont tous les 3 entrepreneurs, d’origine asiatique et mènent leurs affaires sur le continent africain, où ils font chacun un excellent chiffre d »affaires.
Nairobi a entamé un vaste plan de restructuration financière de sa compagnie aérienne nationale, Kenya Airways, lourdement endettée. Il prévoit notamment de remonter au capital du transporteur et de faciliter de nouvelles levées de fonds.
« Aujourd’hui est un grand jour pour notre famille. Les épreuves que tu vas subir feront de toi un homme. Mais pas n’importe lequel, un Mwéné, un homme d’honneur. »
S’il affiche ses bons résultats, le groupe bancaire BGFIBank doit renforcer ses systèmes de contrôle et de sécurité : sa filiale la plus importante, au Gabon, a été la cible d’une attaque informatique.
À la surprise générale, le patron ivoirien a ouvert le capital de son holding familial au réassureur helvète. Objectif : financer la croissance de NSIA, son groupe de bancassurance. L’opération pose plusieurs questions.
Coorganisée par le Groupe Jeune Afrique, la Banque africaine de développement et rainbow unlimited, la 5e édition du Africa CEO Forum a réuni avec succès plus de 1 200 décideurs économiques les 20 et 21 mars, à Genève.
À la tête de la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) depuis début 2016, l’ancien ministre béninois du Développement estime que le Maroc et la Tunisie peuvent être des partenaires privilégiés de cette zone sans en devenir pour autant membres à part entière.
L’algérien Cevital ou le sud-africain Naspers prouvent que des groupes africains peuvent rayonner au niveau mondial. Pour accélérer le mouvement, il faut que les firmes s’allient et que les États créent un environnement favorable à leur épanouissement régional.