Confronté à la baisse des cours, le deuxième producteur africain de cuivre sollicite les marchés financiers internationaux pour rééquilibrer son budget, plombé par une masse salariale importante.
La date butoir pour le passage au numérique est dépassée d’un mois. Peu importe ! Fournisseurs d’infrastructures et groupes de médias s’affrontent pour remporter, dans l’urgence, les appels d’offres.
La chute du prix du baril a enrayé le moteur de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale. Sa croissance pour 2015 devrait se situer bien en dessous des espérances. Et ses États membres, dans une situation financière préoccupante, mettent un frein à leurs grands projets.
Hermann Boua, directeur de la recherche chez Hudson & Cie, examine pour « Jeune Afrique » les perspectives boursières du titre du groupe bancaire panafricain Ecobank.
Elles y sont tenues depuis plus de deux ans, pourtant les deux tiers des entreprises cotées sur la place ouest-africaine refusent de se faire évaluer par des agences de notation. Surtout lorsqu’elles ne sont pas en quête de financement.
Après deux échecs, Quick repart à l’assaut du Maghreb en ouvrant des points de vente en Tunisie et au Maroc. Mais le français fait face, comme McDonald’s et Burger King, à un gros point de blocage : l’Algérie.
Lutte contre la corruption, développement des infrastructures et répartition plus équitable des richesses… Pour tenir ses promesses électorales, le nouveau président va devoir restructurer la filière pétrolière. Et, surtout, la compagnie nationale NNPC.
Près de deux mois après l’ouverture d’un premier restaurant en Tunisie, signant ainsi le retour de Quick sur le continent, son directeur international a expliqué sa stratégie de développement à « Jeune Afrique ».
À la tête d’Oragroup (l’ex-Financial Bank), Patrick Mestrallet poursuit sa stratégie d’expansion et se félicite des résultats obtenus, tout en surveillant le redressement du réseau des BRS, racheté en 2013.
Un peu plus d’un an après la crise qui l’a ébranlé, le groupe panafricain renoue avec les performances. Mais il doit encore régler plusieurs problèmes pour se développer sereinement, notamment celui de sa gouvernance.
Ex-haut cadre de la Banque africaine de développement, ce Malien en convoite la présidence. Expert des montages financiers, il veut fédérer les acteurs publics comme privés face à son déficit de financement.
Cette institution, où il a oeuvré pendant trente ans, a peu de secrets pour Bedoumra Kordjé, ministre tchadien des Finances et du Budget. Le candidat de l’Afrique centrale estime pouvoir légitimement devenir président de la Banque africaine de développement.
Elle est la seule femme à briguer la présidence de la Banque africaine de développement. Mais c’est par son expérience que cette ex-dirigeante de Citibank, ministre depuis 2006, compte se distinguer.
Évoluant au sein de la multinationale informatique américaine depuis dix-huit ans, l’ingénieur marocain vient d’en être nommé vice-président chargé des services d’hébergement et du cloud.
En faisant entrer la Banque nationale du Canada – plutôt que le géant Swiss Re – au tour de table de son groupe, Jean Kacou Diagou confirme sa volonté de créer un leader panafricain de la bancassurance.
Les deux géants sud-africains du ciment, PPC et AfriSam, viennent d’annoncer qu’ils mettent un terme aux discussions devant conduire à leur fusion. L’opération devait pourtant accélérer leur expansion panafricaine.
Qui sera le prochain président de la Banque africaine de développement ? Si le Nigeria se démène pour décrocher le titre, l’Histoire a montré que les « petits pays » tirent souvent leur épingle du jeu… À deux mois du verdict, tour d’horizon des candidats, aussi expérimentés que déterminés.
Lorsqu’il quittera le poste de président de la Banque africaine de développement, en septembre prochain, que fera Donald Kaberuka, jeune retraité d’à peine 63 ans ?
Premier Noir à avoir dirigé un géant de la City – l’assureur Prudential -, le Franco-Ivoirien a été nommé à la tête de l’un des plus grands groupes bancaires au monde, Credit Suisse. Portrait d’un précurseur.
En 2014, le groupe marocain Banque populaire a vu son produit net bancaire bondir de 12 % à 14,7 milliards de dirhams (1,37 milliards d’euros). En Afrique subsaharienne, il poursuit sa percée avec des résultats en nette progression.
Pour financer leurs infrastructures, les États africains se pressent sur les marchés internationaux. Quitte à négliger la préparation de ces grands chantiers…
Yaoundé veut lever des fonds sur les marchés financiers internationaux – une première – et échafaude déjà les grands projets qui créeront un « choc de croissance ». Reste à convaincre les investisseurs internationaux…
Un peu plus de deux ans après son lancement, la compagnie privée tunisienne enchaîne les difficultés et doit se recapitaliser. Au risque de finir par rester clouée au sol.