Enseignant-chercheur à l’université de Caen-Normandie. Directeur de l’IUP Banque Finance Assurance – IAE Caen. Co-auteur de « Risques de taux d’intérêt et de change » aux éditions Afno.
La transition progressive vers un taux de change flottant doit conduire le Maroc à ouvrir son économie aux capitaux étrangers et à afficher une parité conforme à ses fondamentaux, évitant ainsi toute surévaluation potentielle du dirham. L’enjeu est triple pour le Maroc, résorber une balance des transactions courantes structurellement déficitaire, attirer les investisseurs étrangers, et en particulier chinois, et développer le secteur financier.