Du Mali à la Guinée, en passant par le Sénégal, la répression des manifestations se fait trop souvent brutale, voire meurtrière. Les violences des forces de maintien de l’ordre n’illustrent pas la puissance d’un État mais sa faiblesse, assène Amnesty International.
Ce 11 juillet marque la Journée africaine de lutte contre la corruption. L’occasion pour Amnesty International de déplorer publiquement que les défenseurs de l’État de droit soient souvent victimes de harcèlement judiciaire, de licenciement abusif, de menaces, voire de meurtre.
Alors que le nombre de déplacés et de réfugiés dans le monde a atteint le niveau record de 65,3 millions de personnes en 2015, et que l’Afrique reste, rappelons-le, le premier continent d’accueil de ces réfugiés, la plupart des pays les plus riches leur claquent la porte au nez.