Philosophe et islamologue marocain, auteur de « Réformer l’islam : une introduction aux débats contemporains » (La Découverte, 2003), Abdou Filali-Ansary estime que le Maghreb ne s’intéresse pas suffisamment à la Turquie.
Puissance économique émergente, laboratoire de la modernité politique musulmane, acteur diplomatique incontournable au Moyen-Orient, Ankara suscite un engouement sans précédent au Maghreb.
L’Algérie fête sa troisième qualification pour le Mondial, après vingt-quatre ans d’absence. Mais la Tunisie et le Maroc – quatre participations chacun – restent à la maison. Les Fennecs, qui ont raté leur entrée dans la compétition (0-1 contre la Slovénie) sont donc les seuls à représenter le Maghreb…
« Le bon élève du Maghreb et du monde arabe »… Si le cliché est réducteur, il a le mérite de résumer l’image que les autorités s’emploient à projeter hors de leurs frontières.
Déroute des conservateurs du PLD, au pouvoir depuis 1945… Triomphe des démocrates du PDJ… Les électeurs ont spectaculairement manifesté leur volonté de changement. La situation économique étant ce qu’elle est, il sera difficile de ne pas les décevoir.
« Intransigeant modéré », inflexible sur les principes mais toujours ouvert au dialogue, le leader social-démocrate, probable candidat à la présidentielle tunisienne du 25 octobre, prône un changement de comportement. Entretien.
La Fédération internationale des pilotes de ligne (Ifalpa) lance une campagne de sensibilisation pour obtenir la réintégration du pilote de l’ATR 72 qui s’était abîmé en mer au large de la Sicile en 2005.
Face à des conservateurs en pleine déconfiture, l’opposition, qui a fait de la « rupture » son mot d’ordre, a le vent en poupe. Elle ne devrait pas laisser échapper la victoire lors des législatives du 30 août.
Les changements à l’œuvre depuis l’avènement de Mohammed VI ont profondément modifié l’image du royaume à l’étranger, notamment au sein de l’intelligentsia maghrébine.
Longtemps présenté comme un technocrate du sérail, l’ex-Premier ministre de Khomeiny continue de rejeter les résultats tronqués de la présidentielle du 12 juin. Et apparaît désormais comme un leader opiniâtre et charismatique.
Un ouvrage riche en anecdotes retrace l’épopée du petit écran en Afrique francophone. Des premières émissions à l’explosion des chaînes confessionnelles.
S’estimant bâillonné, l’ancien patron de Reporters sans frontières démissionne de son poste de directeur du Centre de Doha pour la liberté de l’information.