Rasages, tressages, défrisages, extensions, perles, postiches… Pour nous, femmes africaines, tous les moyens sont bons pour dompter des cheveux qui n’en font qu’à leur tête.
Si les jeunes sont majoritaires en Afrique, la part des plus de 60 ans ne cesse de progresser. Et pour la prise en charge de ces seniors, l’exemple de la Maison d’accueil des sabukuru, dans la vallée de la Nyabarongo, au Rwanda, peut faire figure d’exemple.
La révolution numérique et technologique en cours dans le pays ne concerne pas que la capitale, ni même que les zones urbaines. Une voie à suivre pour le reste du continent.
Invitée au Parlement européen dans le cadre d’un forum abordant entre autres le rôle des femmes africaines, l’écrivaine rwandaise Scholastique Mukasonga s’inquiète du manque d’actions concrètes prises à l’issue de ces rencontres et se positionne en faveur de l’UFA, l’Union des femmes africaines.
En visitant l’un de ces musées qui exposent ce qu’on appelle prudemment des « arts premiers », une image incongrue m’est venue à l’esprit : l’arc de Titus, à Rome.
Face à l’ébullition de la scène intellectuelle francophone ces dernières semaines, notamment après les prises de position d’Alain Mabanckou, Abdourahman Waberi et Achille Mbembe, l’écrivaine rwandaise Scholastique Mukasonga défend une francophonie ouverte, qui s’émancipe du cadre hexagonal restreint.
Écrivaine rwandaise et lauréate du Prix Renaudot 2012 pour son roman « Notre-Dame du Nil », Scholastique Mukasonga évoque dans cette tribune l’accueil réservé aux migrants.
De retour d’un festival littéraire au Brésil, Scholastique Mukasonga, écrivaine rwandaise, lauréate du Prix Renaudot 2012 pour Notre-Dame du Nil, a la conviction que l’avenir du monde est entre les mains des pays du sud.