Sihine Negede est experte en droits humains, basée à Addis-Abeba et diplômée de la School of Oriental and African Studies (SOAS), de l’Université de Londres.
Le quatrième Forum pour les femmes, la paix et la sécurité, organisé par l’Union africaine, s’est tenu les 13 et 14 décembre à Addis-Abeba, en Éthiopie. L’occasion, une fois de plus, de regretter le peu de place accordée aux femmes dans la recherche de la paix, alors même qu’elles sont les premières victimes des conflits et que leur efficacité lors de pourparlers a été démontrée.
La crise du Covid-19 constitue un test grandeur nature pour les Africains, qui doivent plus que jamais trouver par eux-mêmes les solutions collectives adaptées à leurs problèmes.
L’Afrique est le continent dont la population urbaine a la plus forte croissance au monde. Les inconvénients de cette situation sont nombreux, d’autant que les bienfaits des espaces verts sont peu valorisés dans les études de développement.
Le 2 avril dernier, l’Éthiopie a nommé son nouveau Premier ministre, une nouvelle qui a été reçue avec énormément de joie et d’espoir au sein de la majorité des nombreuses facettes qui composent la communauté éthiopienne, tant locale qu’internationale.