Sur internet, les afro-féministes sont nombreuses à traquer les attaques « misogynoiristes », néologisme inventé pour qualifier les insultes spécifiques à l’égard des femmes noires, afin de sensibiliser ces dernières et de leur faire prendre conscience qu’elles peuvent et même doivent dire « Non » face à de tels comportements.
En Algérie, homosexualité rime souvent avec calvaire. Religion, rencontres, pression sociale et répression… Trois militants LGBT (lesbienne, gay, bi, trans) ont accepté de témoigner de leur vie quotidienne en dépit des risques qu’ils encourent dans leur pays.
Qui est Al-Mahdi, « le sauveur de tous les musulmans » dont de nombreuses vidéo de propagande jihadiste prophétisent la venue prochaine ? Décryptage de l’islamologue Soheib Bencheikh.
Au Moyen-Orient, les centres de déradicalisation pour réhabiliter les jihadistes se multiplient. Des expériences qui intéressent de plus en plus les pays européens désireux de s’inspirer des méthodes existantes pour empêcher le départ de leurs ressortissants en Syrie.
Le vice-président du Centre français du culte musulman (CFCM), l’avocat Chems-Eddine Hafiz, réagit au plan de lutte contre les filières jihadistes annoncé par le gouvernement français. Interview.
Fin 2013, sa fille de 24 mois a été enlevée par son père, parti faire le jihad en Syrie. Après avoir créé un collectif nommé « Jamais sans Assia », Mériam Rhaiem a lancé mercredi 9 avril avec plusieurs familles de mineurs français jihadistes une pétition nationale intitulée « Rendez-nous nos enfants ». Interview.
Le salafisme jihadiste s’apparente-t-il à une dérive sectaire, à une instrumentalisation du religieux à des fins politiques ? Devant la multiplication des cas de jeunes-filles en rupture sociale et familiale, la Miviludes tire la sonnette d’alarme et les autorités françaises se saisissent de la question.
Le professeur Baba Koumaré est le chef du service de psychiatrie de l’hôpital du Point G à Bamako. De plus en plus souvent confronté aux séquelles de la consommation de stupéfiants chez ses patients, il revient sur le cas du Mali. Un pays de transit pour les narcotrafiquants, où les consommateurs de drogues se sont multipliés ces dernières années.
Les Français sont de plus en plus nombreux à mener la « guerre sainte » à Damas. Aujourd’hui, ils seraient environ 300, sur 600 Européens, à fournir une aide logistique et militaire à l’opposition syrienne, qu’elle soit terroriste ou non. Un chiffre impressionnant qui inquiète les autorités européennes et françaises.
Face aux attaques de drones qui déciment ses rangs au Pakistan, Al-Qaïda tente de mobiliser ses ingénieurs pour neutraliser la menace. Mais l’organisation terroriste pourrait aussi essayer de retourner l’arme contre ses ennemis, militaires ou civils.