« Ne soyez pas effrayés si le sang coule demain en Tunisie. » Ces mots que Chokri Belaïd avait adressés aux Tunisiens, peu avant sa mort, il y a six ans jour pour jour, disent combien ce militant convaincu n’était pas dupe de ce que tramaient les forces politiques. Au point d’avoir prévu et anticipé tout ce que le pays a vécu depuis 2013.