À l’occasion de la publication de ses résultats semestriels à Casablanca, l’organisme de crédit immobilier et hôtelier marocain a dévoilé sa stratégie jusqu’en 2020. Au programme : développement de l’immobilier commercial et émission d’obligations. En revanche, le lancement de sa filiale dédiée à la finance participative patine toujours.
Installés à Tanger, deux entrepreneurs, un Béninois et un Togolais, proposent des solutions informatiques pour les administrations publiques et les universités. Un moyen de renforcer l’accessibilité aux usagers et de lutter contre la corruption. Leurs deux sociétés, créées au Maroc, ne comptent pour l’heure que quelques contrats mais intéressent de nombreuses institutions.
Cet été trois cent familles marocaines testeront le produit. À moyen terme, l’objectif est de distribuer dans d’autres pays d’Afrique ce réfrigérateur portable destiné aux petits cultivateurs ou aux foyers non raccordés au réseau électrique, et d’éviter les gâchis alimentaires.
Exclusif. Le groupe HEM (Institut des Hautes études de management) prévoit l’ouverture d’une « université privée » en septembre prochain à Tanger. L’autorisation du ministère de l’Enseignement supérieur est en cours d’obtention.
La dernière étape de la visite du Medef, le patronat français, au Maroc, les 10 et 11 mars, passait par Kénitra. À 50 km de la capitale marocaine, l’Atlantic Free zone, la zone franche dédiée à l’industrie automobile, est en plein développement dans le sillage de l’arrivée de Peugeot Citroën (PSA) qui, à compter 2019, veut y produire à terme jusqu’à 200 000 véhicules par an.
La Banque participative du Maroc, née du partenariat entre la Banque populaire (BP) et l’américain Guidance Financial group, a annoncé vendredi le début prochain de ses opérations dans le royaume.
De sa carrière aux États-Unis, Ahmed Hamidi conserve quelques expressions américaines qui fusent parfois dans la conversation et surtout un esprit pionnier.
Crise des vocations, offre pédagogique mal adaptée… L’Afrique ne produit pas assez d’ingénieurs, au risque de ralentir son développement économique. Focus sur les trop rares établissements de bon niveau de la zone francophone. Le cas du Maroc.
Sixième sur le continent et dans la zone Afrique du Nord et Moyen-Orient (MENA), le Maroc progresse de cinq places dans la nouvelle édition du rapport Doing Business de la Banque mondiale. Le royaume enregistre néanmoins des contre-performances dans des domaines clés. Décryptage.
Près de deux ans après l’adoption d’un décret faisant baisser les prix des médicaments, le secteur a gagné en transparence… mais perdu en chiffre d’affaires. La hausse de la demande, c’est pour quand ?
Offre enrichie, effort sur les prix, lifting des magasins… La stratégie du numéro un des supermarchés a payé: son chiffre d’affaires a bondi de plus d’un tiers en 2014.
La 3e édition des rencontres Tunis Forum, organisée le 4 juin, a réuni 400 personnes venues de douze pays pour échanger sur les relations économiques de la Tunisie avec ses voisins : l’Algérie et la Libye.
Leader dans son pays, la société tunisienne de crédit-bail s’attaque à l’international. Avec un atout : sa participation majoritaire dans Alios Finance, acteur historique du secteur déjà présent dans neuf pays.
La souscription aux actions d’UADH, la branche automobile du groupe tunisien Loukil, a suscité une forte demande du marché. L’Offre à prix ferme a été sursouscrite plus de cinq fois, selon les résultats provisoires publiés le 25 mai.
Première introduction boursière de 2015, l’entrée d’UADH, avec les marques Citroën et Mazda notamment, marque aussi la première cotation pour une holding spécialisée. Une opération préparée et menée par le groupe Attijari. La souscription a lieu du 13 au 20 mai.
Deux mois après sa nomination, le gouvernement tunisien s’est livré cette semaine à une série d’interventions publiques censées fixer ses priorités à moyen terme, notamment en matière économique.
Dopée par l’entrée de la Banque islamique de développement (BID) à son capital, la banque islamique tunisienne Banque Zitouna souhaite s’étendre et diversifier ses produits. Et envisage de se développer en Afrique.
Trois ans après la révolution, l’indice Tunindex a enregistré la plus forte croissance du monde arabe. De quoi résoudre les problèmes de liquidités de la Bourse de Tunis et enfin voir augmenter son volume d’échanges ?
Face aux nouveaux défis apportés par la révolution, cette figure locale du droit, spécialisée dans l’accompagnement d’investisseurs étrangers, a dû diversifier son expertise.
Un an et demi après son introduction sur la place financière, la compagnie aérienne tunisienne Syphax Airlines chute en piqué. Christian Blanc, son nouveau PDG, la fera-t-il redécoller ?
Co-organisée avec la France, la conférence « Investir en Tunisie : start up democracy » a rassemblé le 8 septembre Etats, institutions internationales et investisseurs. 22 projets pour une enveloppe globale de 5,2 milliards d’euros ont été présentés.
Mohamed Frikha, Moncef Sellami, Salma Rekkik Elloumi, Hafedh Zouari… Les dirigeants de grands groupes figurent en bonne place sur les listes pour les prochaines législatives. Un moyen de montrer que les questions économiques seront au cœur du débat électoral.
Malgré la révolution de 2011 et la crise européenne, les deux principaux équipementiers du pays poursuivent leur développement. Objectif : être au plus près des constructeurs, partout dans le monde.
Les résultats de la souscription de l’action Tawasol, qui faisait son entrée sur le marché alternatif, ont été dévoilés. L’offre à prix ferme a été souscrite 1,1 fois par 4 878 actionnaires. Retour sur ces résultats mitigés.
Depuis le 12 mai les Tunisiens peuvent souscrire auprès des banques et des intermédiaires en bourse à un emprunt obligataire de 500 millions de dinars (226 millions d’euros). Des conditions préférentielles ont été mises en place pour encourager la participation des particuliers.