Manganèse, fer, or… Le pays, qui a misé en vain sur le retour de la stabilité après la présidentielle de 2010, dispose d’un potentiel à peine entré en exploitation. Revue de détail.
Libertés confisquées, régimes autocratiques, chômage des jeunes… Au nord et au sud du Sahara, les ingrédients d’un soulèvement populaire sont souvent réunis, même s’il faut se garder des analogies hâtives.
Sommés de choisir entre Gbagbo et Ouattara, les chefs d’entreprise voient leurs affaires tourner au ralenti, en attendant le dénouement de la crise politique.
Dans une interview accordée à jeuneafrique.com, l’anthropologue ivoirien Bony Guibléhon* revient sur la délicate question religieuse en Côte d’Ivoire. Sans occulter le rôle que les dignitaires chrétiens et musulmans jouent sur la scène publique de son pays.
Médiation conjointe de la Cedeao et de l’Union africaine, menace militaire, sanctions économiques… Passage en revue de toutes les clés de la crise ivoirienne.
De la création d’une filiale américaine à l’expérimentation du gaz naturel comme carburant automobile, l’entreprise publique Petroci a engagé une stratégie de diversification audacieuse. Et critiquée.
Après avoir ouvert son capital à la Banque ouest-africaine de développement, le jeune groupe ivoirien pourrait accueillir un deuxième actionnaire de référence pour soutenir sa stratégie régionale.
On la disait marginalisée il y a quelques semaines, mais Laurent Gbagbo a finalement décidé de faire de sa femme « Simone » une arme dans la bataille de l’après élection présidentielle ivoirienne.
La crise politique ivoirienne a brutalement ralenti la machine économique du pays. Investissements gelés ou reportés, consommation en baisse… Patrons et bailleurs de fonds sont inquiets. Que restera-t-il de la locomotive écomnomique de la sous-région après la tempête ?
Le nouveau ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé, parcourt Abidjan dans tous les sens. Objectif : mobiliser la jeunesse du FPI pour la préparer au pire, même si le mot d’ordre reste pour l’instant celui de la non-violence et de la normalité.
Chef de la diplomatie du gouvernement de Laurent Gbagbo, Alcide Djédjé, s’est entretenu avec Jeuneafrique.com sur la crise politique inédite en Côte d’Ivoire et sur les conditions de la médiation. Interview.
La tension monte à Abidjan, d’autant plus dangereusement que les camps des deux présidents proclamés Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo se livrent une guerre de communication sans merci par médias interposés.
Mis en cause par le camp Gbagbo, qui l’accuse de couvrir les « fraudes » et « irrégularités » qui auraient entaché le second tour de la présidentielle dans le Nord occupé par l’ex-rébellion, Young-jin Choi, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en Côte d’ivoire, se défend. Et confirme la victoire de Ouattara dans les urnes.
Instauré par Laurent Gbagbo à la veille du second tour de l’élection présidentielle qui l’a opposé à Alassane Ouattara, le couvre-feu est enfin levé ce lundi. Mais il a compliqué la vie des Ivoiriens de la capitale économique, Abidjan, et compte-tenu de l’incertitude politique – la Côte d’ivoire a désormais deux présidents – la situation n’est pas près de s’améliorer. Reportage.
Le Conseil constitutionnel prend la main dans le processus de proclamation des résultats de la présidentielle ivoirienne. C’est ce qu’a affirmé jeudi Paul Yao N’Dré, président de la plus haute juridiction du pays et proche de Laurent Gbagbo, au cour d’une conférence de presse.
Commissaire de la Commission électorale indépendante (CEI) représentant le camp de Laurent Gbagbo, Damana Adia Pickass a physiquement empêché, mardi en début de soirée, le porte-parole de l’institution, Bamba Yacouba, de proclamer les résultats provisoires de l’élection présidentielle dans plusieurs régions. Il s’explique sur son geste dans une interview exclusive à jeuneafrique.com.
Au cours de deux conférences de presse tenues à l’issue du second tour de l’élection présidentielle, les camps des deux candidats Laurent Gbagbo et Alassane Dramane Ouattara se sont mutuellement accusés d’être responsables, localement, de graves irrégularités.
Dans une interview exclusive à jeuneafrique.com, le chef de la mission des observateurs de l’Union européenne, Christian Preda, évoque les points de tension entre son institution et la Commission électorale indépendante (CEI), dont il a dénoncé « l’opacité » et les « obstructions » à plusieurs reprises depuis le premier tour de l’élection présidentielle.
L’une des clés du second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre se trouve dans la région de Yamoussoukro. Ce fief du PDCI, le parti houphouétiste, a représenté le tiers des suffrages d’Henri Konan Bédié au premier tour du scrutin, le 31 octobre.
Lors du débat télévisé sur la RTI, jeudi soir, les deux candidats à l’élection présidentielle Laurent Gbagbo et Alassane Dramane Ouattara (ADO) n’ont pas « cherché palabre ». Bien loin du choc brutal auquel on s’attendait, la rencontre a été pleine de courtoisie et de respect mutuel.
Ce soir à 21h, sur la chaîne nationale RTI et pour la première fois de l’histoire de la Côte d’Ivoire, deux finalistes d’une élection présidentielle vont s’affronter en direct sur un plateau télévisé. Laurent Gbagbo et Alassane Dramane Ouattara (ADO) promettent des révélations.
L’aéroport d’Abidjan mise sur des liaisons directes outre-Atlantique pour concurrencer son voisin ghanéen. Mais la Côte d’Ivoire, qui attend depuis dix ans la certification des Etats-Unis, n’est pas complètement arrivé au bout de ses peines.
La campagne électorale officielle pour le second tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire a débuté samedi. Et les affiches des deux candidats Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara montrent que ceux-ci ne se font plus de cadeaux. Ambiance.
Véritables indicateurs de tendances, les jeunes sont dragués par les opérateurs, qui voient en eux des diffuseurs de nouvelles technologies. Et surtout les gros consommateurs de demain.