Le 2 avril 2018, l’Assemblée tunisienne a voté le Startup Act, destiné aux jeunes pousses du numérique et rédigée avec elles. Un modèle qui pourrait inspirer bien d’autres pays en Afrique subsaharienne, estiment Thomas Léonard, associé chez Okan, et Yahya et Amine Bouhlel, cofondateurs de la start-up tunisienne GoMyCode.
Cédric Sinarinzi, avocat à la cour et Thomas Léonard du cabinet de conseil Okan sont partisans des partenariats publics-privés. Devant la hausse du nombre de divorce, ils offrent leurs conseils pour que ces unions soient durables.