De la nécessité de respecter la limitation des mandats présidentiels Tandis que les leaders mondiaux sont réunis cette semaine pour l’assemblée générale des Nations unies, une crise ne suscitant guère l’attention internationale pourrait bien offrir une grande leçon de politique étrangère.
« Si le président Ghazouani avait perdu, il l’aurait accepté », assure le chef de la diplomatie mauritanienne