Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Agronome et financier, le nouveau patron du gendarme de la filière ivoirienne va devoir renforcer le contrôle et la transparence pour relever un organisme en crise.
Poursuivi en justice et révoqué, le maire de Cotonou se fait discret. Il affirme être dans le collimateur de son éminent parent par alliance, le président Patrice Talon.
Pilotes, militaires, politiques et mercenaires, les protagonistes du bombardement de Bouaké du 6 novembre 2004 sont à chercher à Paris comme à Abidjan. Découvrez ce qu’il faut savoir sur eux, avec notre infographie interactive.
La veuve de ce civil tué dans le bombardement raconte ses rencontres avec les autorités françaises et ivoiriennes. Selon elle, Paris a des choses à cacher.
Ce marchand d’armes établi au Togo est à l’origine de la vente des avions qui ont attaqué le camp français de Bouaké. Robert Montoya est également soupçonné d’avoir facilité la fuite des pilotes biélorusses après l’assaut.
Plus d’une décennie après l’ouverture d’une information judiciaire en France, l’enquête sur le bombardement de Bouaké n’a toujours pas permis d’identifier clairement les commanditaires.
Le 17 novembre 2005, un an après les faits, la DGSE diffusait une longue note confidentielle émettant les différentes hypothèses relatives au drame de Bouaké.
Ange Gnanduillet et Patrice Oueï, les deux copilotes désignés des Sukhoi Su-25, ont toujours nié toute culpabilité dans le bombardement. JA vous livre leur unique témoignage.
Le 6 novembre 2004, l’armée de Laurent Gbagbo bombardait la force française Licorne, faisant dix morts et trente-huit blessés. Treize ans plus tard, de nombreuses zones d’ombre demeurent. JA lève un coin du voile.
Après avoir déposé à l’Assemblée nationale un projet de loi d’amnistie pour tous les acteurs de la crise postélectorale, Evariste Méambly, député indépendant et président du groupe parlementaire Agir pour le peuple, a rendu visite à Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ce lundi à La Haye. Il explique sa démarque à Jeune Afrique.
Le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara a procédé à un remaniement surprise, plaçant ses plus proches collaborateurs aux postes clés. Au risque de fâcher ses alliés ?
Après six mois d’exercice conjoint entre le chef de l’État Alassane Dramane Ouattara, son vice-président Daniel Kablan Duncan et le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, la distribution des rôles et des dossiers semble claire. Même si elle n’est pas sans réserver quelques surprises.
Après le limogeage de Niamien N’Goran et la suspension de Jean-Louis Billon, symboles du malaise au sein de la coalition au pouvoir, le PDCI a appelé ses militants au calme.
Le domicile de Souleymane Kamagaté, alias « Soul to Soul », le directeur du protocole de Guillaume Soro, a été perquisitionné lundi à Abidjan. C’est dans une villa lui appartenant à Bouaké qu’une cache d’armes avait été découverte le 15 mai alors que des mutineries secouaient le pays.
Le chef de l’État béninois, Patrice Talon, effectue depuis mercredi un nouveau séjour en France pour des raisons médicales. Lors de son dernier passage à Paris, fin mai, il avait subi deux interventions chirurgicales.
L’ancien chef de l’État reste un acteur majeur de la scène ivoirienne. Mutineries, grogne sociale, présidentielle de 2020, affaires judiciaires… Sur toutes ces questions, le Sphinx de Daoukro a un avis tranché. Entretien exclusif.
Évincé de la présidence de la Renaissance du Bénin, le parti créé par sa mère en 1992, le maire de Cotonou considère que le chef de l’État n’est pas étranger à ses récents ennuis.
Franck Hermann Ekra, analyste politique ivoirien et consultant en stratégies d’images proche du PDCI, livre son point de vue sur les dynamiques qui traversent le parti d’Henri Konan Bédié, la recomposition à venir de la classe politique et l’élection d’Emmanuel Macron en France.
L’agenda africain du président français Emmanuel Macron s’annonce chargé. Le nouvel occupant de l’Elysée rencontrera son homologue ivoirien Alassane Ouattara dimanche 11 juin, avant de s’entretenir avec le Sénégalais Macky Sall le lendemain et de s’envoler pour le Maroc, le 14 juin.
En donnant satisfaction aux mutins, le président Alassane Dramane Ouattara a ouvert la boîte de Pandore. Il doit maintenant gérer les revendications des « démobilisés » de l’armée, pendant que, dans les coulisses, la guerre des clans se réveille au sommet de l’État.
Démis de ses fonction de président de la Renaissance du Bénin (RB) le 21 mai, le maire de Cotonou Lehady Soglo réagit auprès de Jeune Afrique, estimant que cette décision est illégale.
Cagoule sur la tête, arme à la main, prêts à défier le pouvoir en place, ils ont conservé les réflexes des rebelles qu’ils ont été. Depuis 2014, ils se sont mutinés à trois reprises, fragilisant chaque fois un peu plus le pays.
Dans la nuit du 15 au 16 mai, Alassane Ouattara, confronté à la quatrième contestation militaire en trois ans, a dû céder aux revendications des mutins. Retour sur une crise qui soulève de nombreuses interrogations.
Après une longue période de brouille, l’ex-Premier ministre ivoirien, Charles Konan Banny, est rentré dans le rang de l’ancien parti unique. Et a désormais un seul objectif : lui permettre de reconquérir le pouvoir.