Accompagnés de trois huissiers de justice, Oumar Sarr, Karim Wade, Me Madické Niang et Samuel Sarr ont tenté en vain, jeudi 13 décembre, d’embarquer à l’aéroport de Dakar sur un vol pour Abidjan. Leur objectif : faire constater légalement l’inconstitutionnalité de la mesure d’interdiction du territoire national qui pèse sur eux.
La visite de chef du gouvernement français Jean-Marc Ayrault, à l’occasion d’une « rencontre de haut niveau », s’est achevée jeudi 13 décembre par la signature d’accords de partenariats portant sur 280 millions d’euros.
Le Nouveau parti démocratique (NPP), principale formation d’opposition ghanéen, a déclaré mardi 11 décembre qu’il contesterait devant la justice les résultats de l’élection présidentielle du 7 décembre. Cette décision intervient deux jours après l’annonce de la victoire du chef de l’État par intérim, John Dramani Mahama, devant le candidat du NPP, Nana Akufo-Addo.
L’éducation pâtit de la reprise des combats dans l’est de la RDC. Selon l’Unicef, 240 000 élèves ont manqué plusieurs semaines de scolarité depuis l’éclatement de la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23), en mai. Plus de 600 écoles sont concernées.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23 se sont réunis dimanche 9 décembre à Kampala, capitale de l’Ouganda, pour tenter de négocier un retour à la paix dans l’est de la RDC.
La coalition autour du président burkinabè Blaise Compaoré obtient au moins 81 sièges sur les 127 à pourvoir dans la nouvelle Assemblée nationale, selon selon les résultats partiels des législatives proclamés jeudi 6 décembre dans la soirée par la commission électorale. Le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) et ses alliés conservent donc la majorité absolue.
Alors que les Ghanéens sont appelés aux urnes pour élire leur président, le 7 décembre, les relations avec la Côte d’Ivoire sont plusieurs fois revenues dans la campagne électorale. Sur ce sujet, Nana Akufo-Addo, candidat du Nouveau parti démocratique (NPP-principale force d’opposition) s’est en particulier montré très critique à l’encontre du Congrès démocratique national (NDC, au pouvoir). Mais une alternance au Ghana serait-elle en mesure de régler les contentieux entre les deux pays voisins ?
Les négociations entre les autorités de RDC et les rebelles devaient se tenir à partir de vendredi 7 décembre au matin à Kampala. Mais la délagation du M23 était toujours attendue dans la capitale ougandaise. Le président Joseph Kabila ne devrait pas être présent et le principal parti de l’opposition congolaise (UDPS de Étienne Tshisekedi) a refusé d’y être représenté.
Cinq personnes ont été tuées après des heurts entre partisans et adversaires du président Mohamed Morsi dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 décembre. Jeudi matin, l’armée égyptienne s’était déployée devant le Palais présidentielle au Caire.
Qui de John Dramani Mahama ou de Nana Akufo-Addo sera le prochain président du Ghana ? Les citoyens sont appelés aux urnes vendredi 7 décembre dans un pays souvent présenté comme un modèle mais où la campagne a été d’une rare violence verbale.
Une plainte a été déposée à Paris, le 30 novembre, par l’État du Sénégal dans le cadre d’enquêtes sur de présumés enrichissements illicites, a appris l’AFP mercredi 5 décembre de sources concordantes. L’action vise Karim Wade, le fils de l’ex-président sénégalais Abdoulaye Wade.
Après avoir critiqué pendant plus d’un an le Congrès démocratique national (NDC), parti qu’il a lui-même fondé, l’ancien président ghanéen Jerry Rawlings est finalement rentré dans le rang. La raison de cette attitude ? En novembre, la candidature de sa femme, Nana Konadu, a été invalidée par la commission électorale.
Une délégation du gouvernement malien ainsi que des émissaires d’Ansar Eddine et de la rébellion touarègue du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) ont convenu « d’observer une cessation des hostilités » et « ont reconnu la nécessité de créer un cadre de dialogue intermalien inclusif ». Bamako et ces mouvements armés étaient réunis pour la première fois autour du président burkinabè Blaise Compaoré, mardi 4 novembre à Ouagadougou.
Des heurts ont éclaté, mardi 4 décembre, devant le siège de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT – principal syndicat tunisien) à Tunis, en marge de la commémoration du 60e anniversaire de l’assassinat du leader syndicaliste Farhat Hached. Militants syndicalistes et membre de la Ligue de protection de la révolution, une organisation proche des islamistes d’Ennahdha, s’accusent d’en être à l’origine.
Les négociations entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23) vont s’ouvrir « d’ici un ou deux jours », a déclaré mardi 4 décembre le ministre congolais de l’Intérieur, Richard Muyej Mangez, en visite à Goma.
L’armée de la République démocratique du Congo (RDC) a fait son retour, lundi 3 décembre, à Goma, ville que le Mouvement du 23 mars (M23) avait quitté il y a deux jours. Mais le flou régnait toujours sur les négociations prévues entre les autorités congolaises et les rebelles, promises en échange du repli de ces derniers.
Le candidat du Nouveau parti patriotique (NPP, opposition), Nana Akufo-Addo, gagne la bataille de l’influence sur Internet face à son rival du Congrès national démocratique (NDC, au pouvoir), John Dramani Mahama. Et si le président par intérim accuse du retard dans la bataille en ligne, les autres candidats à la présidentielle ghanéenne ont en général fait des réseaux sociaux un véritable outil de stratégie politique en vue de l’élection générale du 7 décembre.
Le chef militaire de la rébellion M23, le général Sultani Makenga, a accusé vendredi la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) de bloquer le retrait de ses troupes de Goma, où un peu plus de 270 policiers congolais sont arrivés, vendredi 30 novembre.
Les membres de la commission constituante égyptienne ont adopté, vendredi 30 novembre, le projet de la nouvelle Constitution. Mais le texte est déjà très violemment critiqué par l’opposition.
Depuis que le chef militaire du M23, Sultani Makenga, a annoncé que ses troupes se retireraient de Goma, les signes du repli restent peu visibles. Il devrait être effectif vendredi 30 novembre « ou peut-être le jour suivant », samedi, a déclaré, jeudi, un porte-parole des rebelles, Amani Kabasha.
La jeune femme de 27 ans agressée sexuellement au début de septembre par deux agents de police a vu les poursuites pour « atteinte à la pudeur » à son encontre abandonnées, jeudi 29 novembre, par le parquet de Tunis. Les policiers ont, quant à eux, été inculpés pour viol.
Des affrontements ont de nouveau éclaté entre protestataires et policiers dans l’après-midi du jeudi 29 novembre à Siliana, ainsi que dans d’autres villes de la région. Des manifestations sont attendues vendredi 30 novembre.
Le Caire a accéléré la rédaction de la Constitution, qui devait être achevée mercredi et votée jeudi 29 novembre. Un moment clé de la vie politique égyptienne qui se déroule pendant que le pays traverse sa pire crise depuis l’élection du président islamiste Mohamed Morsi. Les manifestants, qui s’affrontent à nouveau avec les forces de l’ordre jeudi 29 novembre, lui reprochent de s’être octroyé, dans la Constitution, des pouvoirs exceptionnels.
Il y a cinq ans, ce Camerounais installé au Québec inaugurait la rubrique « Parcours ». Il était simple député, on le retrouve aujourd’hui ministre de la Culture.
La décision du président Mohamed Morsi de s’octroyer des pouvoirs exceptionnels a provoqué la colère des Égyptiens. Au Caire, plusieurs cortèges rassemblant des dizaines de milliers de personnes ont convergé vers la place Tahrir, mardi 27 novembre. Des manifestations hostiles au président ont également touché les principales villes du pays.
À la suite de « pourparlers militaires » avec des chefs d’état-major de la région, lundi 26 novembre à Kampala, Sultani Makenga, le chef militaire des rebelles du Mouvement du 23 Mars (M23), a accepté de retirer ses troupes des villes de Goma et de Sake, selon le chef d’état-major de l’armée ougandaise, cité par Reuters. Mais le président du M23 et chef politique de la rébellion, Jean-Marie Runiga, a posé plusieurs conditions à ce retrait.
Réunis ce week-end à Kampala, les chefs d’États de la région des Grands Lacs ont exigé l’arrêt des hostilités, le départ des rebelles de Goma avant le mardi 27 novembre et leur retrait à une vingtaine de kilomètres au nord de la ville. Et si une rencontre entre le président Joseph Kabila et chef politique du M23, Jean-Marie Runiga Lugerero, a eu lieu, le bras de fer entre le deux parties se poursuit.
Agressé le 25 octobre à Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu en RDC, le docteur Mukwege a tenu une conférence de presse, jeudi 1er novembre, à Stockholm, en Suède, où il est réfugié.
Les réactions algériennes au bras d’honneur de l’ancien ministre français de la Défense et des anciens combattants (UMP), Gerard Longuet, sont d’une virulence extrême. D’autant que l’Algérie célèbre cette année le cinquantenaire de son indépendance et qu’elle attend une visite de François Hollande dans un mois.