Le 30 juin, le FMI a annoncé que l’Angola abandonnait sa demande de soutien financier, lancée en avril 2016. Cette décision surprenante s’explique tout d’abord par le rebond des prix du pétrole – dont le cours moyen depuis le 1er avril a atteint 46 dollars le baril.
La partie de cache-cache jouée depuis quelques années par le Mozambique avec sa dette pourrait bien avoir de fâcheuses conséquences sur son avenir économique.
Le taux de change réel du franc CFA s’est apprécié, mais il reste bien en-dessous des niveaux en vigueur avant la dévaluation de 1994. Victor Lopes, économiste Afrique chez Standard Chartered, livre son analyse à « Jeune Afrique ».