Suite aux propos de l’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Patrice Bergamini, qui accusait certains groupes privés de gripper les négociations avec l’UE, Walid Bel Hadj Amor, vice-président de l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE) et représentant de la plateforme du secteur privé pour l’Aleca-Tunise, défend le secteur privé tunisien, dont il rappelle le libéralisme et le pragmatisme.