Depuis la réforme de la Constitution, le roi du Maroc Mohammed VI étoffe son équipe de conseillers. Fouad Ali El Himma apparaît comme la pièce centrale de ce dispositif.
L’arrestation de Seif el-Islam Kadhafi – cueilli à une cinquantaine kilomètres à l’ouest d’Obari, dans la nuit du 18 au 19 novembre, après avoir été trahi par un Touareg – ouvre la voie au procès de quarante-deux ans de dictature. Une perspective qui n’est pas pour rassurer tous ceux – Occidentaux, Arabes et Africains – qui en ont été les complices et les bénéficiaires.
Le cas Senoussi dérange. Les autorités libyennes ont annoncé sa capture à Sebha, dans le Sud, avant de se rétracter. Dans l’attente de la confirmation de son arrestation, portrait de l’ex-numéro deux officieux du régime Kadhafi, dont le nom est synonyme de terreur.
Dans son n°2656 en kiosques du 4 au 10 décembre, Jeune Afrique consacre un dossier de six pages à la victoire des islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) aux élections législatives du 25 novembre dernier. Petit aperçu.
Selon certaines sources, l’explosion qui a coûté la vie à dix-sept Gardiens de la révolution en Iran, dont un haut responsable du programme de missiles à longue portée, porte la signature de Tel-Aviv.
Vendredi 25 novembre au Maroc, quelque 13 millions d’électeurs ont été invités à élire leurs 395 députés. Principal enjeu de ces premières législatives depuis la nouvelle Constitution : le taux de participation. Reportage de notre envoyé spécial.
Optimiste à l’approche des législatives du 25 novembre, l’actuel ministre marocain des Finances, Salaheddine Mezouar, pourrait hériter du poste de chef du gouvernement.
Bientôt, le roi Mohammed VI ne gouvernera plus seul au Maroc. Après les élections législatives anticipées du 25 novembre, il lui faudra désigner un successeur à Abbas El Fassi.
Les élections anticipées du 25 novembre au Maroc représentent le premier test depuis l’adoption de la nouvelle Constitution. Au-delà des calculs des politiciens et de l’identité des futurs vainqueurs, la participation dira si les réformes engagées paraissent crédibles.
Après un long exil aux États-Unis, Abdurrahim el-Keib, un universitaire originaire de Tripoli, succède à Mahmoud Jibril au poste de chef du gouvernement.
Une participation massive aux élections est souvent expliquée par le facteur tribal au Sahara. Après la récente poussée de violences interethniques, elle sera l’un des enjeux des législatives marocaines anticipées du 25 novembre.
Dans son n°2653 en kiosques du 13 au 19 novembre, Jeune Afrique interroge Salaheddine Mezouar, à la veille des législatives prévues le 25 novembre. Le président du Rassemblement national des indépendants (RNI) et actuel ministre des Finances revient sur ses ambitions politiques et livre son interprétation de la réforme constitutionnelle marocaine.
Pas de félicitations pour l’équipe d’Abbas El Fassi. À trois semaines des élections législatives anticipées au Maroc, les ministres sortants, à quelques exceptions près, ne peuvent guère se prévaloir d’un bilan positif. Revue de détail.
Une nouvelle génération de jeunes journalistes marocains tente l’aventure internet. Avec des fortunes diverses : le succès d’audience est souvent au rendez-vous, mais le modèle économique aléatoire.
Les nouvelles autorités libyennes se lancent dans une refonte du paysage médiatique. À la manœuvre : un journaliste en exil pendant trente-cinq ans, Mahmoud Shammam.
Retour progressif à la vie normale dans la capitale libyenne, où la population vaque de nouveau à ses occupations. En s’accommodant de la prolifération des armes et des coupures d’eau…
À un mois des élections législatives, l’hypothèse d’une victoire du Parti de la justice et du développement (PJD) cristallise l’attention de toute la classe politique du Maroc. Et suscite l’inquiétude.
Portés par la révolution libyenne, les Berbères veulent désormais unir leurs voix et peser politiquement. Première tentative lors de leur sixième congrès mondial, du 30 septembre au 2 octobre, à Djerba.
Tolérés par les autorités marocaines pour contrecarrer les prédicateurs orientaux, les avis religieux sauvages – et parfois saugrenus – prolifèrent, créant un véritable « marché des biens de salut ».
Un mois après la chute de Tripoli, les nouveaux maîtres du pays doivent asseoir leur pouvoir, soumettre les dernières poches Kadhafistes, apaiser les rivalités entre factions rebelles, construire un État… Et prôner la réconciliation après quarante-deux années de dictature.
Dans les câbles révélés par WikiLeaks sur le Maroc, un seul sujet domine : le Sahara occidental. Une obsession qui culmine lors de l’affaire Aminatou Haidar.
Lors de sa visite à Tripoli et à Benghazi, le chef de l’État français a été accueilli avec chaleur par les dirigeants de l’après-Kadhafi. Retour sur un triomphe politique et populaire.
Les gouvernements français et britanniques auraient proposé au Conseil national de transition libyen leur aide pour l’organisation des prochaines élections.
Mis en ligne le 5 septembre, Makassib.ma (« acquis » en arabe) est la nouvelle vitrine du gouvernement marocain sur la Toile. Une initiative qui ne fait pas que des heureux.