Le procès de 24 sahraouis accusés d’assassinat de onze membres des forces de l’ordre marocaines, en 2010, a repris vendredi 8 février. Un feuilleton judiciaire largement commenté sur internet.
Le gouvernement libyen aurait versé la coquette somme de 200 millions de dollars au gouvernement mauritanien en échange du transfert d’Abdallah Senoussi, en septembre 2012.
Avant de passer le relais à John Kerry, la secrétaire d’État a lancé une ultime mise en garde contre le terrorisme islamiste en Afrique du Nord. Et prôné la plus grande fermeté.
Dans une société qui s’individualise, on convole en justes noces de plus en plus tardivement. Et en attendant d’avoir les moyens de fonder une famille, garçons et filles bricolent leur sexualité.
La fermeture d’Actuel est un signal d’alerte pour les journaux du royaume. Confrontés au défi de la langue, au tarissement de la publicité et à la concurrence du Net, les titres en français sont les plus vulnérables.
« Jeune Afrique » plonge dans le dernier ouvrage de Malek Chebel, « Changer l’Islam. Dictionnaire des réformateurs musulmans des origines à nos jours », à paraître le 31 janvier.
Au pouvoir depuis un an, les islamistes tardent à faire la démonstration de leur capacité à diriger le pays. Mais en ont-ils vraiment les moyens et l’expertise ?
À l’occasion du premier anniversaire de la mise en place du gouvernement Benkirane, Hamid Chabat, chef du parti de l’Istiqlal, a grillé la politesse à ses amis de la coalition au pouvoir en exposant devant la presse les grandes lignes du mémorandum qu’il a adressé au chef du gouvernement.
Selon ce spécialiste de l’islam politique, l’après-Yassine restera marqué par l’héritage intransigeant du cheikh. Mais il n’est pas exclu que la relève assouplisse un jour la ligne d’Al Adl wal Ihsane.
L’ancien ministre marocain des Relations avec le Parlement, Driss Lachgar, prend les rênes d’une USFP affaiblie. Sa recette pour guérir ? Une cure d’opposition.
Face à la menace terroriste, le Maroc a vu se multiplier les sociétés de gardiennage. Une loi entrée en vigueur en septembre doit permettre de faire le ménage dans le secteur.
Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées, vendredi 14 décembre à Rabat, pour l’enterrement du cheikh Abdessalam Yassine, le fondateur d’Al Adl wal Ihsane. L’émotion des fidèles a tranché avec la retenue des autorités et de la presse francophone.
La dépouille de l’ancien ministre des Affaires étrangères, Mansour Kikhia, disparu en 1993 a été retrouvée. Mais le mystère de son enlèvement et de son assassinat reste entier.
Seuls cinq pays africains n’ont pas voté lors de l’Assemblée générale de l’ONU en faveur de l’octroi à la Palestine du statut d’observateur non membre, le 29 novembre : le Cameroun, le Malawi, le Rwanda, la RDC et le Togo. Explications.
Dix-neuf ans après sa disparition, la dépouille de Mansour Kikhia, ancien ministre lybien des Affaires étrangères et opposant du colonel Kadhafi, a été retrouvée.
Dressant un portrait inédit du premier recteur de la Mosquée de Paris, Kaddour Ben Ghabrit, le journaliste lève le voile sur un héros méconnu de la Seconde Guerre mondiale.
Sahel, Palestine, Syrie… Mohammed VI et François Hollande partagent le même point de vue sur les différentes crises qui font l’actualité internationale. C’est du moins ce qui ressort d’un entretien téléphonique entre le roi du Maroc et le président français, dont le contenu a en partie été rendu public.
Atout charme du régime, l’épouse du président syrien Asma al-Assad a disparu du devant de la scène. Fini le temps des interviews sur papier glacé, bienvenue dans le quotidien d’une femme de dictateur.
À son arrivée au pouvoir, Bachar al-Assad était un jeune chef d’État incarnant une promesse de changement. Mais depuis mars 2011 et le déclenchement de la contestation, le fils de Hafez al-Assad s’est mué en dictateur impitoyable.
Ancien patron du PJD, islamiste aux idées iconoclastes, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération semble confortablement installé dans ses nouvelles fonctions.
Le Maroc a annoncé, dimanche 18 novembre, qu’il allait installer à Gaza un hôpital de campagne. Objectif : « contribuer à alléger les souffrances d’une population victime depuis plusieurs jours d’actes d’agression militaire, dénoncés vivement par le Royaume ».
Acteurs oubliés de la guerre au Sahara, ces anciens soldats des Forces armées royales réclament la reconnaissance de leur sacrifice pour la patrie. Depuis leur retour des geôles du Polisario, ils mènent un combat sans relâche pour la dignité. Photoreportage inédit.
Nommé conseiller de Mohammed VI en novembre 2011, au lendemain de la victoire islamiste aux législatives, Omar Azziman fait figure de primus inter pares au sein du cabinet royal.