DTS, Ghana, Cadre commun, investissements, choc alimentaire…. Pour Jeune Afrique, le directeur Afrique du Fonds monétaire international décrypte les sujets brûlants de l’actualité macroéconomique du continent.
Grâce à ses zones économiques spéciales, le Gabon s’engage dans la voie d’un développement industriel durable. Avec ses 144 entreprises et des indicateurs dans le vert, la ZES de Nkok a fait la preuve de son efficacité.
La très récente décision de l’Opep+, prise afin de contrecarrer la baisse tendancielle des cours, devrait tirer à la hausse le prix des carburants. Un positionnement non sans conséquence pour l’économie du continent.
Le pays dirigé par Nana Akufo-Addo traverse une grave crise économique, mais l’aide internationale ne peut être sa seule issue sur le long terme. D’autant que des caciques du parti au pouvoir ne soutiennent pas le recours au fonds.
Dans son rapport « Africa’s Pulse », la Banque mondiale exhorte les États africains à réorienter leurs politiques publiques vers des secteurs à impact sur le développement, alors que le ralentissement de la croissance, et le contexte macroéconomique affectent de plus en plus durement le continent.
Comment le portefeuille des Africains fortunés évolue-t-il ? Plutôt dans le bon sens, selon deux études récentes, qui confirment que la tendance est à la hausse sur le continent.
Des échanges toujours dynamiques, en net fléchissement ou tout à fait insignifiants ? À l’heure où l’inflation mondiale atteint des sommets et où les équilibres géopolitiques sont en pleine reconfiguration, quid de la relation sino-africaine et des enjeux qui sous-tendent les partenariats entre le continent et le géant asiatique ? Jeune Afrique fait le point.
Panafricaniste, patriote engagé dans le développement de son pays, proche de longue date de Macky Sall… Le nouveau ministre des Transports aériens s’est confié à Jeune Afrique en exclusivité.
À Conakry, des dirigeants non-guinéens d’établissements bancaires doivent renoncer à leurs postes parce que la Banque centrale ne leur délivre plus l’agrément nécessaire à l’exercice de leurs fonctions.
En passant d’une perspective économique « négative » à « stable », Bamako semble être sur la bonne voie. Pour autant, l’agence de notation estime que la situation politique reste préoccupante pour l’avenir de l’économie malienne.
Nouveau poste dans une autre institution, démission forcée ? Voici ce que Jeune Afrique sait des raisons du départ de la secrétaire exécutive de la Commission économique pour l’Afrique.
La mobilisation promettait d’être historique. Les syndicats des contrôleurs aériens de l’Asecna ont finalement accepté, à la demande du président sénégalais, de suspendre la grève qui devait démarrer le 25 août. Pour l’instant…
En plus d’annuler le remboursement de prêts accordés à 17 pays africains, Pékin veut renforcer son soutien aux secteurs agricole et manufacturier sur le continent et mettre en place une aide alimentaire.
Et si les BRICS devenaient les BRICSA ? Abdelmadjid Tebboune en est persuadé : l’Algérie qu’il préside répond en grande partie aux conditions pour adhérer à ce club d’économies émergentes comprenant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud. Qu’en est-il réellement ? Décryptage.
Les institutions internationales prévoient, non sans réserve, une croissance économique à deux chiffres pour le pays, grâce à la mise en service, à la fin de 2023, d’un oléoduc devant permettre de multiplier les exportations de l’or noir par sept.
Ébranlées depuis deux ans par des crises successives, les chaînes d’approvisionnement mondiales se réorganisent, refaçonnant les échanges commerciaux. Le continent peut en tirer parti, estiment les experts.
Coup sur coup, les trois principales agences de notation internationales, Moody’s, Standard and Poor’s et Fitch ont dégradé la note souveraine du Ghana, qualifiant sa dette de spéculative. Le gouvernement se rebiffe.
Outre les tensions avec Kigali et la présidentielle de 2023, le secrétaire d’État américain a discuté partenariats économiques stratégiques, appui au commerce et investissements avec les autorités congolaises.
À l’heure où les Kényans se rendent aux urnes pour élire leur nouveau président, Jeune Afrique fait le point sur la situation économique dont héritera le futur chef de l’État.
Bamako, Ouagadougou, Yaoundé, Dakar… le sentiment anti-français ne cesse de s’y faire entendre. Quelques jours après la tournée africaine d’Emmanuel Macron, Jeune Afrique a fait le point sur l’impact de ce phénomène sur les affaires. Décryptage.
Arrimé à l’euro par une parité fixe, le franc CFA utilisé par quatorze pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale s’est déprécié face au dollar en même temps que la monnaie européenne. Une très mauvaise nouvelle pour les importations et le remboursement de la dette.
Prenant le contre-pied des estimations, Dakar table sur 888 milliards de F CFA de recettes publiques issues de l’exploitation des gisements gazier Grand Tortue Ahmeyim (GTA) et pétrolier de Sangomar.
Le conseil d’administration du Fonds monétaire international vient d’approuver un accord sur 42 mois pour aider le gouvernement à faire face à ses besoins urgents.
Dette, PME, agriculture… Retour sur cinq idées développées par le financier franco-ivoirien lors d’une conférence le 6 juillet, pour aider l’Afrique à repartir sur les chemins de la croissance.
Alors que de nombreux pays développés ont exprimé leur volonté de transférer leurs droits de tirage spéciaux (DTS) aux économies africaines, rien n’a pour l’instant encore été concrétisé. JA dresse l’état des lieux de l’avancée des discussions.
Investissement de plus d’1 milliard d’euros au Cameroun et 370 millions au Sénégal de la Banque islamique de développement (BID), multiplication des activités des établissements participatifs au Maroc… JA dresse un état des lieux et esquisse les perspectives du secteur sur le continent.
Pour le Gabon, « forêts » rime avec « opportunités économiques ». Le pays entend créer 187 millions de crédits carbone et compte en revendre la moitié sur le marché des compensations.
À l’initiative des États-Unis, le G7 lance un vaste programme dédié aux pays en développement, dont plusieurs États africains. En filigrane, l’objectif est de bousculer la suprématie chinoise en la matière.
À ce jour, 43 % de la population africaine n’a pas accès à l’électricité. Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), son accès universel pourrait être atteint d’ici à 2030 avec un investissement de 25 milliards de dollars par an.
Gestion et impact du Covid-19, régulation de la pêche, place du numérique, autosuffisance alimentaire et production locale… Pour Jeune Afrique, la DG de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) fait le point sur ces préoccupations qui animent le continent.