C’est l’un des grands débats qui ont traversé le Hirak : faut-il participer au jeu politique, quitte à suivre les règles du pouvoir, ou boycotter les rendez-vous électoraux, au risque de devenir inaudible ? Ces figures du Hirak ont elles décidé de franchir le pas de l’engagement partisan. Parcours.
Le geste d’Abdelmadjid Tebboune en faveur des détenus d’opinion n’y a rien fait : ce 22 février, des milliers d’Algériens sont descendus dans la rue pour réclamer la rupture avec l’ancien système. Reportage.
Le Conseil d’État a suspendu, le 21 janvier, le gel des octrois de visas de regroupement familial pour les conjoints et enfants d’étrangers résidant en France, une mesure prise en mars 2020 en raison de la pandémie de Covid-19.
Après plusieurs mois de report, le film « Heliopolis » a enfin fait sa première en Algérie… mais seulement pour la presse, Covid-19 oblige. Son réalisateur, Djaffar Gacem, espère maintenant séduire l’Académie des Oscars.
En pleine crise liée au coronavirus et en plein mois de ramadan, les gouvernements du Maghreb veillent au grain. Objectif : empêcher des pénuries ou la flambée des prix.
Avec 1 914 cas déclarés de coronavirus et 293 morts au 12 avril, l’Algérie est l’un des pays les plus touchés en Afrique. La task force dirigée par le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, multiplie les efforts pour inverser la courbe.
Depuis la détection des premiers cas de coronavirus lors d’un mariage, mi-février, la « ville des roses » est devenue le principal foyer de la pandémie en Algérie.
En première ligne dans la lutte contre le Covid-19, les professionnels de santé alertent les autorités algériennes sur leurs conditions de travail. Ils soulignent notamment le manque de matériel de protection, qui les expose fortement au virus.
Fermeture des mosquées, importation de plusieurs millions de dollars de matériel… les pouvoirs publics ont pris plusieurs mesures ces derniers jours pour limiter la propagation du Covid-19 en Algérie. Une stratégie qui se heurte à un climat de défiance entre la population et les autorités.
Des milliers d’étudiants ont marché dans les rues d’Alger le 17 décembre, pour le 43e mardi de protestation consécutif. Quatre jours après l’élection d’Abdelmadjid Tebboune, ils ont dénoncé un scrutin « fraudé » et un président « imposé par l’armée », tout en refusant l’action violente. Reportage.
La campagne électorale s’est achevée dimanche pour les cinq candidats à la présidentielle. À la veille du premier tour du scrutin, Jeune Afrique vous résume ce qu’il faut savoir sur l’ex-député FLN Abdelaziz Belaïd, le seul à n’avoir pas occupé de fonction ministérielle sous le règne d’Abdelaziz Bouteflika.
Abdelkader Bengrina, ancien ministre du Tourisme, et Abdelaziz Belaïd, ancien cadre du Front de libération nationale (FLN), sont tous les deux candidats à l’élection présidentielle du 12 décembre, aux côtés d’Azzedine Mihoubi et des anciens Premiers ministres Ali Benflis et Abdelmadjid Tebboune.
Manque de lits, pénurie de médicaments, personnel en sous-effectif… Si le budget alloué au secteur de la santé a plus que doublé en dix ans en Algérie, le malaise des services d’urgence illustre les difficultés de tout le secteur.
L’Algérie s’ouvre aux investisseurs étrangers, et souhaite voir les compagnies étrangères s’associer à Sonatrach dans ses installations pétrolières et gazières, au risque de fâcher l’opinion publique.
La 30e manifestation estudiantine hebdomadaire s’est tenue mardi 17 septembre à Alger et dans d’autres villes du pays. Malgré quelques arrestations et l’annonce de la tenue de l’élection présidentielle mi-décembre, la mobilisation ne faiblit pas. Explications.
L’Algérie s’apprête à vivre, vendredi 19 juillet, sa première finale de Coupe d’Afrique des nations depuis 1990. Vingt-neuf ans après, le soutien à l’équipe nationale est fortement imprégné de la mobilisation populaire qui a obtenu le départ du président Bouteflika et réclame la fin du « système ». Dans ses slogans, mais aussi dans la répression qui le frappe.
Cette année, les Algériens ont fêté le 57e anniversaire de leur indépendance dans un contexte particulier. Quatre mois après le début du mouvement qui a vu la chute de l’ex-président Abdelaziz Bouteflika, ils réclament toujours la fin du « système » et l’instauration d’un État de droit.
Les intimidations des forces de l’ordre et les déclarations du chef d’état-major de l’armée n’ont pas entamé la volonté populaire de faire tomber l’intégralité du « système ». Vendredi 12 avril, ils étaient encore très nombreux à défiler dans les rues de la capitale et des autres villes algériennes.
Les réactions politiques ne se sont pas fait attendre en Algérie, après l’annonce dans la soirée du mardi 2 avril de la démission du président Abdelaziz Bouteflika. Si la plupart des responsables partisans se sont réjouis de la nouvelle, d’autres ont dénoncé la pression des militaires et appelé à rester vigilant.
Le Forum des chefs d’entreprise (FCE) vit des heures difficiles alors que le pays connaît un mouvement de protestation populaire sans précédent. Après la démission de son président, Ali Haddad, jeudi 29 mars, Hocine Metidji a refusé d’assurer l’intérim, comme prévu dans les statuts de l’organisation.
Une semaine après le début de la contestation contre un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, une nouvelle journée de mobilisation a rassemblé vendredi 1er mars des centaines de milliers d’Algériens dans plusieurs villes du pays. Répondant à des appels sur les réseaux sociaux, les manifestants ont dénoncé la candidature du président à l’élection du 18 avril.
De nouvelles manifestations contre le cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika se tiennent aujourd’hui, mardi 26 février, dans plusieurs villes du pays, à l’initiative cette fois des étudiants. Cette journée fait suite à plusieurs mouvements de mobilisation à travers le pays, dont le plus important a eu lieu vendredi 22 février à Alger.
Des milliers de personnes ont manifesté le 22 février à travers l’Algérie, et notamment dans la capitale, où les rassemblements sont interdits depuis 2001. La mobilisation, qui devrait se poursuivre dimanche, faisait suite à plusieurs appels lancés sur les réseaux sociaux contre la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat.
Le développement du rugby en Algérie passe aussi par la pratique féminine. Avec dix clubs de rugby à sept créés spécifiquement en moins de trois ans, la Fédération mise sur les femmes pour faire gagner du terrain à ce sport, et une sélection nationale est en cours de formation pour représenter le pays durant les grands tournois. Reportage.
Les récentes déclarations belliqueuses du maréchal Khalifa Haftar, commandant en chef de l’Armée nationale libyenne, ont ravivé les tensions avec Alger, qui a redoublé de vigilance face à son voisin de l’Est.
Le wali de Blida, Mostefa Layadi, n’aura pas résisté longtemps à la polémique sur la mauvaise gestion de la crise du choléra. Il a été limogé le 3 septembre par Abdelaziz Bouteflika. Cette première sanction politique suscite l’espoir des habitants qui se plaignaient des conditions délétères dans plusieurs villes de la wilaya.