CAN 2017 : Claude Le Roy se plaint de la qualité de la pelouse et des conditions d’accueil

Le sélectionneur du Togo Claude Le Roy, qui va disputer sa 9e CAN au Gabon, a fustigé l’état de la pelouse du stade d’Oyem, encore en travaux à ses abords à la veille des premiers matches du groupe C, dimanche en conférence de presse.

Claude Le Roy à Durban pendant la CAN en Afrique du Sud, le 28 janvier 2013. © Rebecca Blackwell / AP / SIPA

Claude Le Roy à Durban pendant la CAN en Afrique du Sud, le 28 janvier 2013. © Rebecca Blackwell / AP / SIPA

Publié le 15 janvier 2017 Lecture : 1 minute.

« C’est la première fois que je vois des +ralentisseurs+ sur un terrain. Il y a un quart de terrain avec des ralentisseurs dessus, ce n’est pas pour favoriser la vitesse du foot. C’est une première dans le football international », a ironisé Le Roy, avant l’entrée en lice de son équipe contre la Côte d’Ivoire.

Outre la pelouse, les espaces extérieurs du stade d’Oyem, ville du nord proche du Cameroun et théâtre de violences post-électorales en septembre, sont toujours en travaux, notamment les parkings, à J-1 des premiers matches du Groupe C.

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Claude Le Roy, qui s’apprête à disputer avec le Togo sa 9e CAN, un record, s’est également plaint des conditions d’accueil de son équipe à son arrivée au Gabon.

« A notre arrivée à Libreville, on nous a gentiment fait attendre 5 heures à l’aéroport avant de partir sur Oyem, sans servir un repas aux joueurs à trois jours d’un match, ce qui n’est pas très gentil. Et il a fallu qu’on loue une voiture pour venir ici. Autrement à Bitam (environ 70 km au nord d’Oyem) on est bien, dans un hôtel correct où tout le monde fait le maximum pour nous aider », a-t-il encore raconté.

Le Togo, dernier qualifié pour la compétition, affrontera la Côte d’Ivoire, tenante du titre, lundi.

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