Dans le Sud tunisien soumis à de fréquents épisodes de sécheresse, le déploiement d’un programme de sécurité hydrique se heurte à la question du coût de l’eau sans oublier celle de son subventionnement.
Faute d’un engagement suffisant, la Côte d’Ivoire est confronté à un important déficit en eau courante. Mais la mainmise de la Sodeci sur la distribution n’est pas remise en question pour autant.
Face à la pratique illégale de la revente d’eau, l’Etat a créé une commission anticrise qui alimente gratuitement les quartiers les moins raccordés. En attendant des travaux d’aménagement.
Pour l’établissement public, la priorité est d’étendre l’accès à l’eau potable dans les zones rurales. Un objectif que l’Onep entend atteindre grâce à des investissements conséquents et au soutien de l’État.
Lors d’un déplacement dans la troisième ville du pays, le 31 janvier, le ministre algérien des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, a relevé plusieurs insuffisances devant les responsables de la Société de l’eau et de l’assainissement de Constantine (Seaco), coentreprise créée en 2008 entre l’Algérienne des eaux, l’Office national de l’assainissement et le Groupe des eaux de Marseille.
La forte croissance de la population sur le continent africain oblige les États à augmenter leurs investissements pour garantir un meilleur accès à l’eau potable. Notamment dans les villes.