Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
La lettre « Z », transcrite en tifinagh, imprimée en rouge sur un fond bleu, vert et jaune : le fameux étendard berbère est devenu le symbole d’un peuple en lutte pour sa survie. Mais il n’est pas aussi vieux que l’on croit.
Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
Le Printemps arabe augure-t-il du Printemps berbère ? Les réponses de Stéphanie Pouesseul, chercheuse à l’Institut de recherche sur le Maghreb contemporain (IRMC, à Tunis).
De sa forteresse dans les Aurès, la souveraine combattit farouchement les envahisseurs arabes. Plus de 1 300 ans après sa mort, elle demeure le symbole de la résistance amazigh.